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« Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% |
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Olympia I. Carlson Blakes
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Sujet: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:03 |
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Olympia Isis « On dit toujours que les anges sont blonds aux yeux clairs et parfaitement innocents. Mais ce fait n'est que mensongé car les anges ne sont pas tous blonds ou innocents. »Clarson Blakes
•• NOM ; Clarson Blakes •• PRENOM(S) ; Olympia Isis •• ÂGE ; 20 bougies. •• STATUT AMOUREUX ; Célibataire. •• RICHE OU PAUVRE ; Extremement riche. | •• ETUDES ; Littérature •• METIER ENVISAGE ; Ecrivain ou Actrice •• GROUPE ; ♀ elles sont toutes belles. (suffit de la regarder (a) ) •• ORIENTATION SEXUELLE ; Hétérosexuelle. •• AVATAR ; Ashley Greene |
C'était un beau matin d'hiver, on était pas très loin de Noêl, lorsque un petit cri s'est fait entendre dans un hôpital. Un enfant de plus sur cette planète. Et cette enfant, ce n'était pas n'importe qui, non. C'était Olympia Isis Carlson-Blakes. Un long nom pour une si petite fille me diriez vous. Dès sa naissance, ses jolis traits fins annonçaient une fille qui allait faire tourner plus d'une tête. Brune aux yeux vert d'un émeraude si claire qu'il en est presque éblouissant, on ne peut pas dire que son physique laisse à désirer. Beaucoup de gens disent qu'il n'y a pas de justice dans ce monde, que ceux qui sont chanceux le sont sur tous les tableaux, c'est probablement vraie, et la jeune femme en est même la preuve vivante ! Magnifiquement belle, très talentueuse, excellente à l'école, et milliardaire. Que demander de plus ? Elle est a ce qu'on peut appeller, une ange tombé du ciel que ce soit physiquement ou moralement, ayant tout les caractères possibles pour être une vrai ange et pourtant, ce n'est qu'une histoire de don pour la comédie. Et non, les amis, sont petit minois de chat a beau annoncé un esprit délicat et sainte ni touche, il faut savoir que c'est ce genre de fille donc il faut le plus se méfier. Pour plus de précision, commençons par sa famille : Olympia est la fille de Lord Carlson, Lord américain réputé pour sa fortune extraordinaire, si vous n'avez pas entendu parler de lui, c'est que vous ne venez pas du continent américain dans ce cas là et je ne peux rien faire pour vous, et de miss Blakes, une merveille femme sublimemment belle, qui a longtemps été un fantasme intouchable et désirable pour les hommes, connu pour être une ancienne mannequin, qui possède actuellement, la plus grande bijouterie du monde. Et ce n'est qu'un euphémisme. Déja, rien qu'en naissant, la belle brune avait tout pour elle, sa vie était tracée. En effet, par ce simple fait, la jeune femme qu'était Olympia, est devenue une vrai fille à papa. Petite capricieuse, tétûe, qui avait toujours tout ce qu'elle voulait et avec cette vie on ne pouvait pas lui repprocher. Etant née avec une cuillière en argent dans la bouche, en or on pourrait même dire, étant né à New York, dans le quartier chic de l'upper east side. Vous croyez tout de même pas qu'elle vit dans les rues, la demoiselle ? Et pourtant, elle n'en profita pas, révelant aux yeux de ses parents, une fille au caractère angélique mais à l'apparence trompeuse. Vous croyez que ce fin sourire vous est destinée avec tant de franchise que vous êtes capables d'en avoir la larme à l'oeil ? Détrompez vous. Généreuse et intelligente, elle obtenait toujours une excellente moyenne avec un grand entourage niveau ami. Il faut dire qu'elle a beaucoup de malice et une reflexion assez poussée, n'allez pas la sous-estimer vous allez le regretter. On la traita d'ange, chose qui la fit sourire car même si elle était quelques peu naive, soyons franc tout de même elle n'a pas que des qualités, elle nétait pas du tout ce qu'on peut appeller " d'innocent ". La famille, on ne pouvait pas vraiment dire que c'était le top, loin de là. Ce qui ne l'empecha pas d'avoir une vraie vie de princesse, de reine je dirais même. Tout commenca, quand elle apprit - elle n'avait que sept ans à l'époque - que ses deux parents n'étaient pas marier ensemble, pour l'unique raison que son père était déjà marier à une femme. Vous ne comprenez pas, vous allez vite comprendre. C'est simple, son père vivait ce qu'on appellait de nos jours une double vie, ce qui consiste à mentir à tout le monde en ayant deux vies, deux familles, deux femmes, deux lignées d'enfants. Elle lui en valu les premiers jours, mais elle a vite comprit que son père l'aimait réellement puisqu'il était toujours présent pour elle, malgré son travail imposant. La jeune brunette sait faire la part des choses dans sa petite tête, elle ne se laisse pas influencer. Une pointe de fierté arriva en elle, quand elle découvrit cela, étant très proche de son père que de sa mère. Elle l'aimait, l'adorait, la voyait comme un modèle, ça c'était sûr, mais elle n'était jamais aussi proche qu'elle était auprès de son père. Bon nombre de disputes arriva, ne comprenant pas pourquoi son père ne voulait pas divorcer avec sa femme. L'unique raison qu'il eu de lui était que si, il divorca, il aurait une mauvaise image de sa famille, chose qu'il ne voulait pas du tout. C'est cela oui, on y croit tous. En entendant, c'était la famille entière qui en prenait un coup, même elle. A ses 16 ans, Olympia voulait régler cette histoire pour elle même à sa façon, autant fière d'être une Carlson qu'une Blakes, elle demanda de porter les deux prénoms, officiellement parlant. La vie continua son cour, sans jamais demandé à son père si elle avait un demi-frère ou demie-soeur, ne trouvant pas cela utile dans parler, elle n'en voyait pas l'utilité, voila tout, de casser l'ambiance pour un détail, voyant bien que son père n'aimait pas sa famille arrangé car c'était bien cela, un marriage arrangé. Sa vrai famille, elle était ici. Elle vit de ses propres yeux, l'amour que portait son père à sa mère et sut qu'ils étaient amoureux l'un de l'autre depuis très lomgtemps. C'était l'amour fou. Seulement certains parents ne voient pas cette chose là sous cet angle. Elle a toujours une onde de dégout envers les parents de son père, elle a d'ailleurs jamais voulu les voir, tellement cette histoire la traumatisé, elle les hais plus que tout pour leur point de vue qui a brisé un amour véritable, chose réciproque d'ailleurs où elle ne va presque jamais chez ses grand-parents paternel ne les aimant pas du tout. Ils la detestent même, Olympia est sûre et certaine que si ceux las pouvaient lui faire du mal, ils ne se generaient pas, cette idée la fit sourire, rien de plus. Adorable, souriante, généreuse, Gentille et bonne comédienne, les mauvaises langues la traitent de sainte, de petit ange innocent qui ne fait jamais rie, chose qu'elle n'est pas du tout cette image. Vraie peste et manipulatrice, tétû, chiante, capricieuse, elle a d'ailleurs perdu sa virginité au collège, et encore, ça, 'était le moins pire. Olympia a fait ses études dans des écoles public mais où bon nombre d'enfant de riche y venaient. Dans le cas contraire, elle ne serait jamais venu. Niveau étude, parlons-en. Olympia étudie la litterature, elle est vraiment amoureuse de ça, étant aussi dans le club de théatre où elle se rélève une excellente actrice. Tout le monde la soutient, non seulement pour son talent, mais pour son physique aussi. Elle ne sait pas encore, si elle veut devenir ecrivain, journaliste ou actrice,... Elle verra bien de toutes manière où cela la conduira. Mais les trois métiers sont possible pour miss Carlson-Blakes. C'est alors que tout changea ... Six mois avant sa rentrée à l'université, son père lui apprit qu'elle avait une demie-soeur. Angel Carlson. Faut dire que notre petite brunette était choquée d'apprendre qu'elle avait une grande soeur, elle le sentait mal et elle avait bien raison. Rencontre totalement explosive c'est le moins que l'on puisse dire car les deux demie-soeur ne s'aiment pas mais alors pas du tout et ne veulent rien savoir de l'autre, malgré qu'interieurement, les deux sont jalouse de l'autre pour divers points mais étant trop fier, elles ne se le montrent pas, préferant les sarcastiques au paroles gentille. En tout cas, aucune honte profonde et justifiée ... Une haine de fille, en somme. Olympia a eménagé à L'Upper East Side, malgré que sa demi-soeur y soit déja malheureusement. Elle est quelqu'un de populaire malgré que les mauvaises langues la traitent de sainte-nitouche, où elle sourit interieurement n'ayant pas du tout ce caractère de sainte. Les apparences sont souvent trompeuse, et cela va parfaitement bien à l'ange qu'est Olympia Carlson-Blakes. Vous voulez la connaitre ? Pas de problèmes.
Dernière édition par Olympia I. Carlson Blakes le Ven 30 Oct - 5:33, édité 15 fois
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:03 |
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Question sur ta vie sociale C'est classé secret défence. Top secret alors chut.
▌ POUR TOI, LES PILLIERS DE LA VIE SONT ? ET POURQUOI ; Pour moi, l'amour existe, certes, mais ce n'est qu'une preuve de faiblesse, une alchimie qui était cencée divertir et qui a finit par mal tourné, c'est le sentiment du jeu qu'on aurait mal contrôlé, donc je ne vois pas cela comme un pilier. Dans un premier temps, c'est les amis, car on aura beau dire ce que l'on veut, on n'est strictement rien sans eux. Ensuite, c'est la famille, car malgré tous les problèmes c'est grâce à elle que j'ai réussis à faire ce que je fais maitenant, ensuite il y a la passion, pour moi, c'est la littérature et la comédie. ▌ TON AVIS SUR LES GG ; Malgré mon apparence de petit ange modèle, j'adore jouer avec le feu. Mon caractère garde d'ailleurs un entêtement assez marqué dans n'importe quel situation. Alors, forcément, ce genre de potins ne peut que m'enchanter. J'aime bien ces filles, de toutes manières, si elles s'osent s'attaquer à moi, elles ne recommenceront plus. Je suis un ange, vous inquiétez pas (a). Enfin, en théorie ... ▌ L'AMOUR POUR TOI, C'EST ; Pour moi, l'amour existe, certes, mais ce n'est qu'une preuve de faiblesse, une alchimie qui était cencée divertir et qui a finit par mal tourné, c'est le sentiment du jeu qu'on aurait mal contrôlé. L'amour n'a pas grand chose de plus que l'attirance, c'est juste deux personnes qui sont attirés l'un par l'autre, et l'un deux, ou les deux, laissent tomber leurs barrières quelques instants, laissant leur sensibilité les toucher de plein coeur et les "contaminer". Ils ne devraient pas, car on souffre toujours un jour ou l'autre quand l'amour nous touche. ▌ POUR TOI, UNE JOURNEE PARFAITE, SE RESUME EN ; Je me lève après avoir dormit 9 heures, je suis une marmotte x), ensuite je prends un bon café avec un muffins et des cookies . Je m'habille, avec mes plus beaux vêtements, bien entendu. La journée se passe à merveille avec mes amis et je taquine ceux que j'aiment taquiner. Ensuite, je passe la soirée à développer ma passion, l'écriture ou la comédie. Et je me change pour m'amuser toute la nuit en boîte ▌ DES PROJETS POUR DEMAIN ? POUR L'AVENIR ; Le sujet sensible ! Figurez vous que je suis une fille indécise ... Je n'arrive pas à départager mes deux passions : la comédie et l'écriture. Alors, écrivain ou comédienne ? On me conseille actrice grâce à mes atouts physiques, mais je voudrais également montrer que j'en ai pas que dans le decolté.
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Dernière édition par Olympia I. Carlson Blakes le Ven 30 Oct - 5:06, édité 6 fois
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Olympia I. Carlson Blakes
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:04 |
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Le Quiz New-Yorkais a) , b) , c) ou d) . A toi de cocher le/s réponses ( met un X dans le [ ] que tu veux ).
[ X] a) : L'alcool fort. Un wisky coca pour moi, please. Oh quel mal de tête ><' [ ] b) : Le soda. Le fanta, rien y a de mieux, pour s'éclater dans la vie. *-*' [ ] c) : Une boisson Light. OMG ! Un soda sans calories, je prendrais donc aucun gramme *_* [ ] d) : L'eau. Mon père m'a interdit de boire de l'alcool. Ma mère m'a interdit de boire du soda. Donc je me suis rabattut sur l'eau --' LE PECHE CAPITAUX, QUI TE RESSEMBLERA LE PLUS ;
[ X] a) : La luxure. Y a rien de mieux que le sexe dans la vie. *__* [ ] b) : La gourmandise. Qui m'a prit mon cookie ? o;o [ ] c) : L'avarice. Tu me prête un dollard ? Non. o_O --> $ [ ] d) : La colère. Putain, tu m'énerve. Fuck. ><' LE LIEU ROMANTIQUE POUR TOI, C'EST ;
[ ] a) : Ta chambre. Ma chambre est toujours romantique et puis le lit est a porter de main. PS : ranger la chambre avant et après. *--* [ ] b) : Un diner aux chandelles dans un restaurant chic. Je suis riche, je t'aime donc je me le permet. Qu'est-ce que c'est bon. PS : ne pas oublier l'argent. o_$ [ X] c) : N'importe où. Quand je suis avec la personne que j'aime, tout est romantique. PS : Ne pas oublier le GPS, si on se perd. ^^' [ ] d) : Un coin sombre et isolés. Y a rien de mieux pour exiter quelqu'un, ses endroits. PS a moi même : vérifier si il n'y a pas de toiles d'arraignés avant de l'emmener. O_o SI TU ES IMPORTER SUR UNE ILE DESERTE, QU'APPORTERAIS-TU ;
[ X] a) : Mon portable. On ne sait jamais, qui peut m'appeller - je veux du réseau -. oO [ ] b) : Mes lunettes de soleil. Le soleil doit tapper fort las-bas. o-o [ ] c) : Des préservatifs. On ne sait jamais si on tombe sur des sexys amazones . *-* [ ] d) : Des cigarettes. Respect, si je m'emmerde. ->[] EST-TU ENCORE VIERGE/PUCEAU, A TON AGE ;
[ X] a) : Non. Je suis un Dieu/Déesse du sexe. Je te prend où et quand tu veux, darling. O_O [ ] b) : Oui. Mais ne le dit pas - j'ai fait voeux de chasteté -. ><' [ ] c) : Ca ne te regarde pas. Ciao ! -->[]
Dernière édition par Olympia I. Carlson Blakes le Ven 30 Oct - 4:43, édité 3 fois
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Olympia I. Carlson Blakes
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:04 |
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•• NOM ; PSEUDO : F-B-A •• AGE ; 17 (aa) •• OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ; Sur pas mal de forums où j'étais inscrite && par msn (: . •• PRESENCE ; Je pense venir tous les jours, excepté les surcharges de travail. Je répondrais une fois tous les trois jours minimun. Peut-être tous les jours tout dépendra de la semaine (: . •• NIVEAU RP ;
- Spoiler:
Souvent, voir tout le temps, les gens vous disent ce que vous devez faire. Comment vous devez être. Ce qu'il faut éviter. Il y a toujours des préjugés, des modèles, des moules formés par la société qui vous menera à la baguette, au risque de vous menacer d'être exclu du 'groupe'. La grande peur des gens, c'était la solitude. Ne pas se sentir comme tout le monde, être rejettée, être celui ou celle que personne ne comprends. Alors, forcément, lorsque vous avez choisit ce mode de vie de votre plein gré, vous êtes vu comme un extraterestre, tout simplement parce que vous ne pensez pas comme les autres, parce que vous ne recherchez pas les mêmes choses, les mêmes sensations, les mêmes personnes. Etait ce si mal de se montrer quel que l'on est ? Visiblement, oui. Chaque personne est différente, et le caractère de chaque individu est formé par le biais de plusieurs éléments pas si distincts que ça : l'histoire, les choses qu'il a vécu, les personnes qu'il a rencontré, les évènements ou les rencontres qui l'ont influencés, les détails qui l'ont marqué, ... Chaque caractère est le fruit de plusieurs années de vie. Plus on grandit, plus il se définit. Jamais assez, cependant. Certaines personnes étaient vues comme pas normales juste parce qu'ils avaient vécu des choses plus intenses que les autres, parce qu'ils avaient murit trop vite. Etait ce leur faute ? Non, pas vraiment. Mais c'était comme ça. Qu'on vienne pas l'approcher, cela lui était égale. Elle s'en fichait comme d'une gigne, et plus que ça, c'était ce qu'elle recherchait. Elle voulait vivre loin de tout, malheureusement, certains trouvaient le moyen et l'escuse d'aller la chercher au fond de son trou. C'est ce genre de personne qui iraient se plaindre du caractère trempé de la jolie blonde après. Ils cherchent les problèmes et une fois qu'ils les ont trouvés, ils pleurent et ils se plaignent. Pitoyable. Et c'était ce genre de personne qui était considéré comme 'normal'. Une fois de plus, Prue et le reste des étudiants - mis à part Aidan - n'avaient pas les mêmes valeurs.
Bref, donc comme je disais, chacun avait une histoire différente, on ne pouvait donc pas juger le passé d'une personne sans le connaitre, dieu seul savait ce qui s'était passé, et des fois, c'était pas vraiment joli à voir. Bien sûr, on oublie pas, c'est impossible d'oublier quelque chose qui a changé votre caractère, qui vous a ajouté des craintes. Mais qu'Aidan se rassure à ce sujet, elle n'était pas encore totalement térorisée au point de croire que tous les hommes étaient de véritable soûlards qui s'endormaient devant la télévision avec des paquets de chips un peu partout et des bières vides qui trainent sur le sol x). Non pas qu'elle soit totalement sans craintes, mais elle encore une marge de tolérance de ce côté là - surtout pour Aidan. Elle lui faisait totalement confiance, et ce fait l'effrayait plus qu'il n'était neccessaire. Ce n'était pas sa faute à lui, c'était la sienne. Elle avait peur de ce qu'elle pouvait ressentir, de comment elle pouvait réagir. Déja, lorsqu'elle ne faisait pas confiance à une personne, elle disait le fond de sa pensée. Elle ne preferait même pas savoir ce que c'était lorsqu'elle était avec une personne qui detennait sa confiance absolue ... Enfin, si, elle le savait déja. Elle en avait eu un petit échantillon et à vrai dire, cela lui faisait peur. Elle voulait tellement tout savoir sur lui qu'elle le fusillait de questions, elle n'arrivait pas à s'en empêcher. Elle ne savait pas comment il allait réagir, laquelle de ses questions seraient trop indiscrètes, celle qui serait la goute d'eau qui fairait déborder le vase, et qui le fairait fuir. Le point principal, c'était qu'elle n'avait plus l'habitude d'être attaché à quelqu'un, elle n'avait plus la tactique qui permettait de ne pas s'éloigner de quelqu'un. Avant, elle s'en fichait. Les autres, elle les repoussait. Mais lui, c'était tout le contraire. Elle aurait voulu qu'il ne parte jamais. Elle se rendait compte qu'il était plus facile de repousser les autres que de garder quelqu'un près de soi.
Elle essayait de déquortiquer ses pensées, le peu de mots qu'il disait. Elle essyaait juste de comprendre. De rapprocher le plus possible les sentiments qu'il disait ressentir, des siens. Elle trouvait sans difficultés, tout ce qu'il disait, elle le comprenait automatiquement. Elle n'avait aucun mal à le faire. Et ça lui faisait vraiment du bien d'être en accord total avec quelqu'un. Le sourire qui lui adressa était vraiment tendre, sans aucune méchanceté, au point qu'il la fit sourire malgré elle, sans se rendre compte, comme si elle avait une envie incontrôlable de lui rendre. « Oui ; plus ou moins. Je sais bien que toutes les bonnes choses ont une fin. Que le bonheur ou la quiétude ne durent qu’un temps. Mais, j’aurais préféré ne jamais connaître ces sentiments plutôt qu’on me les retire du jour au lendemain … » Elle le comprenait tellement que cela l'effrayait. Une fois de plus, il su mettre des mots sur les émotions qu'elle ressentait mais qu'elle n'arrivait pas à exprimer. C'était comme une sorte de don. D'un côté, elle en était ravie, car elle ne se sentait jamais aussi proche d'Aidan que dans ces moments là, lorsqu'ils se comprenaient parfaitement, lorsqu'ils n'avaient même pas besoin de parler pour savoir comment ils allaient. Et elle adorait cette proximité fusionelle, malgré elle. Elle s'en rendait compte un peu plus à chaque instant. Se rendre compte de quoi ? Du fait qu'elle s'était laissé allé, qu'elle avait laissé tomber les barrières et qu'elle n'arrivait plus à les rétablir. Encore fallait-il qu'elle en ai envie. Et sur ce sujet là, elle avait des doutes. Elle se rendait compte aussi qu'elle s'était attaché à Aidan depuis le début, qu'il était le garçon qui l'avait fasciné, qui avait attisé sa curiosité sans flancher. Comme si le fait qu'elle devait le connaitre, se rapprocher de lui, l'envie de tout savoir sur lui, était une évidence. Une vision globale, comme on disait. ça en était en même temps terrifiant, mais aussi révélateur. Elle répondit alors doucement :
« Je vois ce que tu veux dire. Comme si le fait de te les attribuer puis de te les retirer par la suite te faisait encore plus souffrir que si tu ne les avais jamais connu. Quitte à vivre sans voir grand chose, tu te dis qu'au moins tu auras vécu sans souffrir ... Vivre de belles choses, c'est toujours prendre le risque de souffrir par la suite. Mais tu sais, si tu n'avais jamais rien tenté, tu culpabiliserais à présent, tu te demanderais si le fait de ne jamais souffrir valait vraiment le coup de rater tout ça ... Ne serait ce que quelques infimes instants. »
Elle ne savait vraiment pas si c'était ce qu'il ressentait, mais elle essayait de présenter sa vision globale des choses, de son point de vue. Jusque là, celui d'Aidan et le sien avaient toujours été compatibles. Elle commençait à plus prendre confiance en ses instincts et à son vécu à présent. « Pardon ; ce que je dis n’a pas de réel rapport avec ta question. Je viens de m’en rendre compte. Pour te répondre sincèrement ; c’est un mélange de tes deux hypothèses. Donc oui ; c’est exactement ça. Je ne pouvais pas dire mieux. ». Un petit sourire tout mignon et chalereux s'étira sur ses lèvres. Elle voulait le rassurer. Elle ne voulait pas qu'il se rattrape sur ses paroles, elle voulait justement qu'il lui parle sans reflechir, qu'il lui dise ce qu'il pense, sans forcément répondre au cadre parfait de la question qu'elle venait de lui poser. Elle ne voulait pas qu'il s'escuse d'en avoir trop dit, d'avoir expliqué ce qu'il ressentait. C'était ce qu'elle cherchait, le mettre en confiance. Elle ne répondit rien, ne jugeant pas neccessaire qu'il s'escuse pour si peu. C'était bien, qu'il s'ouvre à elle. C'était ce qu'elle pensait, en tout cas. Elle n'aurait en tout cas jamais pitié d'Aidan. Non, les personnes dont elle avait pitié, c'était celles qui n'avaient rien apprit dans leur vie. Ceux qui n'avaient rien vécu, rien vu. Ceux qui se faisaient tout apporter par maman et papa sur un plateau d'argent dans l'heure qui suit. Ceux qui ne sauront jamais se débrouiller seul et qui chuteront à la première difficulté. Aidan était quelqu'un de fort, qui avait une grande maturité, du respect pour les autres. Il était quelqu'un qui connaissait ses limites, qui vivait comme il pouvait malgré ce qu'il avait vécu. Avec ses petits moyens. Quelqu'un qui, malgré tout ce qu'il ressentait, ne faisait de mal à personne, quelqu'un qui souffrait en silence. Elle ne voyait pas comment elle arriverait à trouver une raison qui lui donne envie d'avoir pitié de lui. Bien au contraire, elle ne pouvait qu'admirer son comportement. Elle voulait lui ouvrir les yeux. Lui montrait comment elle le voyait. Elle ne savait pas comment y parvenir, mais en tout cas, elle allait essayer. Elle ne fairait que ça. Elle avait le temps après tout, elle prendrait le temps qu'il faudra. Cette pensée, celle qui lui disait qu'ils avaient tout le temps, la fit sourire. Car, après tout, ce n'était pas un moment éphémère, juste une révélation, une révélation qui allait en enchainait d'autres. Ce n'était pas un moment qui allait disparaitre comme il était venu. Ce n'était pas un rêve qu'elle vivait là, c'était bien la réalité. Et c'était la première fois qu'elle pouvait affirmer qu'un moment de sa vie était plus beau que ses rêves. Bref, nous nous éloignons quelques peu du sujet de départ.
Elle venait de lui avouer qu'elle l'admirait. Poua, franchement, niveau " j'apprends à fermer ma bouche ", elle n'avait vraiment pas avancé. Quel progrès --' . Pourtant, elle ne regrettait pas. Elle lui avait dit ce qu'elle pensait, comme toujours, malgré qu'elle ai été justement peut-être un petit peu trop sincère. Elle ne voulait pas qu'il ai peur de craquer devant elle. Elle voulait l'aider. Elle lui avait bien dit, il y avait beau montrer une image de lui différente, il sera toujours le même pour elle. Elle ne se faisait pas une fausse idée de lui, une image comme celle que renvoyaient certains : quelqu'un qui a toujours le sourire, qui va parfaitement bien, qui vit la vie sans se soucier de rien. Il avait une trop grande valeur pour ne pas vivre les choses intenséments, que ce soit positif comme négatif. Elle se rendait compte qu'elle aimait son côté sombre également. Celui qui le rendait ainsi. Elle aimait chaque partie de lui, que ce soit une bonne ou une mauvaise chose. Jamais elle n'avait ressentit ça chez quelqu'un. En général, elle voyait les qualités comme des défaults. Chez lui, elle voyait des défaults comme des qualités. Elle en venait à se demandait si ce n'était pas ça, justement, aimer pour de bon. Elle avait assez fui ce sentiment là durant tellement longtemps, qu'à présent, lorsqu'elle s'y retrouvait sans doute confrontés, elle ne savait plus comment réagir, quelle était l'attitude à adopter. Comment parvenir à ne pas reculer systématiquement, ou à contourner. Elle avait du mal, c'était sûr. Tout l'effrayait. Encore plus les sentiments. Elle redirigea son regard clair dans le sien tandis qu'il reprenait la parole. « Si je t’en parle ; c’est parce que j’en ai envie … Je ne le ferais pas sinon. Et c’est justement parce que je sais que tu comprends que je préfère jouer la carte de la sincérité. J’ai confiance en toi Prudence … Peut- être trop. Je ne suis pas habitué à tout ça. C’est rassurant de savoir qu’il y aura quelqu’un pour vous épauler si vous sombrez … Et pour ça, je t’en remercie. Sache que je serais là aussi, si un jour, tu as besoin de quelqu’un. Mais … Je ne suis plus le « Aidan » que tous le monde connaissait. Tu n’as pas à m’admirer, je ne le mérite pas. Cela devrait plutôt être l’inverse. Ce que je suis, je ne le sais pas moi-même … La seule chose que je sais … ». Elle croyait s'entendre parler de nouveau. Depuis qu'elle le connaissait, elle avait toujours ce sentiment : comme si quelqu'un parlait à sa place. Même après tout ce temps, elle ne s'y était toujours pas habituée :
« Je te promets de ne jamais te trahir. Je me doutes que tu le sais déja, et surtout, que le fait de te le dire ne veut pas forcément dire que je tiendrais mes promesses, il n'y a rien qui peut te le certifier, à part ma parole ... Je t'en remercie aussi ... Je sais que tu seras là, quoi qui m'arrive, et j'aime bien cette idée. Parce que ... Je n'ai pas envie que tu partes. Vraiment pas. Il est possible que tu ai changé, que tu sois devenue différent à un point d'en devenir quelqu'un d'autre, c'est probable. Je ne pourrais jamais te dire. En tout cas, je ne sais peut-être pas quel était l'ancien Aidan, certes, mais je connais celui d'aujourd'hui ... Ce n'est pas une question de mérite. C'est un fait, et quoi que tu dises, jamais il ne changera ... J'ai un très bon instinct tu sais. »
Elle fit un petit sourire, très léger, sans rien ajouter. Elle attendait le moment où il arriverait à lui parler directement, où il lui dirait quel était le centre du problème. Elle sentait que cela n'allait pas tarder, l'ambiance était plus lourde. Elle ne savait pas du tout ce qu'il allait lui révelé, mais quoi que ce soit, elle savait qu'elle ne fuierait pas. « C’est qu’une partie de moi -même est morte il y a plus d’un an maintenant. Et que jamais ce ne sera comme avant. ». La jeune blonde analysa avec soin ses paroles. Il avait parlé avec beaucoup de tristesse, au point de lui en transmettre un frisson. Elle le regarda de nouveau dans les yeux, voyant qu'elle arrivait petit à petit à avancer dans le problème, à tout comprendre. Il ne manquait plus qu'un petit pas pour l'éclaircir. Et c'était Aidan qui devait le faire. Elle dit alors presque en murmurant : « Aidan ... Que s'est-il passé .. Il y a un an ? »
Elle se doutait bien que ce qu'il venait de lui dire était capitale, que c'était une révélation dont tout le monde n'avait pas droit, et surtout, très difficile à avouer. Elle ne voulait pas non plus trop forcer, mais elle se rendait à présent compte qu'ils ne pouvaient pas faire demie tour ou marche arrière. A présent, ils étaient lancés, et plus rien ne pouvait effacer ça. Ils s'étaient impliqués dans quelque chose de compliqué, quelque chose qu'ils partageaient à deux. Elle venait de commencer sa vie avec un petit "tu n'as pas du avoir la vie facile". C'était une constatation. Elle avait du être bien pire que la sienne ... Rien qu'en ce qui concerne le paternel, déja. Quelqu'un d'absent ne peut pas être quelqu'un qui fait souffrir. Quelque chose que vous n'avez jamais eu ne peut pas vous manquer. Elle n'avait jamais connu son père, elle n'avait donc jamais ressentit de vide particulièrement imense. Tandis que celui d'Aidan le faisait souffrir, au quotidien. Aidan était le genre de garçon au regard très explicite, celui qui disait que lui aussi, il en avait connu des vertes et des pas mûres. Et que c'était bien pire et bien plus farfelues qu'on pouvait le penser. Ce côté l'attirait encore plus, elle avait besoin de savoir. Parce que c'était Aidan. « Oh, j’ai pas à me plaindre. ». Elle ne répondit rien. Cependant, elle n'en pensait pas moins. C'était quelqu'un qui se contentait de ce qu'il avait sans se plaindre, se disant qu'il y avait pire que lui. Il n'était pas capricieux, il se contentait de la vie. A ce moment là, elle se rendit compte à quel point il avait faux quand il disait qu'il ne fallait pas l'admirer. Elle avait toutes les raisons de le faire. Et elle se promit intérieurement de prendre le temps qu'il fallait pour lui faire comprendre ses raisons là. C'est alors qu'elle fit la plus grande, la plus sincère des relations qu'elle n'avait jamais osé faire : lui dire de quoi elle avait peur. Quelque chose qu'elle detestait. Quand on connait vos peurs, on peut vous faire tomber sans problèmes, on connait vos points faibles. C'est une grande faiblesse, d'après elle. Et ses peurs, ça a toujours été quelque chose qu'elle gardait pour elle. Depuis toujours. Une chose qui n'a jamais passer la barrière de ses lèvres, et pourtant, dieu sait combien elle en a dit des choses dans sa vie.
« Prudence … Tu pourras me poser toutes les questions que tu veux, je te répondrais. Je suis incapable de ne pas être sincère avec toi. Et, étrangement, je peux t’assurer que je ne m’enfuirais pas. C’est un sentiment étrange … Je ne le comprends pas vraiment … Mais ça me ferais plus de mal de fuir en te laissant derrière moi, que rester en répondant à des questions inévitables, que je crains depuis trop longtemps. ». Elle resta silencieuse. A vrai dire, elle avait prit un sacré choc. Les paroles qu'il venait de lui dire lui avait vraiment réchauffé le coeur, d'une manière assez directe. Durant un instant, elle se sentait apaisée, presque normale. Comme si aucune trahison n'était venu perturber le court de sa vie. Comme si son père ne s'était pas tiré avant qu'elle pointe le bout de son nez. Comme si sa mère n'avait pas décidé de rendre l'âme avec cette saleté de poudre blanche sur le parquet du salon. Comme si, tout ce qui existait, c'était le fait qu'elle était près de lui, et que lui, était près d'elle. C'était un peu mélodrame, je vous l'accorde, mais durant quelques secondes, elle ne pensait qu'à ça. Lorsqu'il avait dit qu'il lui était impossible de la laisser derrière lui, qu'il preferait répondre à ses questions déplacés, elle ressentit une sorte de soulagement. Il n'avait pas l'intention de fuir, il voulait rester, malgré tout. Malgré son mauvais caractère, ses questions indécentes, sa nature étrange. Malgré qu'elle en soit convaincue, elle avait toujours peur qu'il disparaisse, sans crier gare. Les choses belles ne restent jamais bien longtemps, elles s'épanouissent, comme dans un rêve. Comme si la vie nous avait permit de toucher ne serait ce qu'un instant le bonheur et que, juste après, elle vous le retire, jugeant que vous en avez assez eu, et que d'autres le mérite. Il venait de lui avouer qu'il était incapable de lui mentir, et qu'il répondrait à toutes ses questions. Seulement, elle ne voulait pas que ce fait là le fasse souffrir. Si ça lui apportait trop de mauvais souvenirs, elle préferait passer ses questions sous silence, même si Aidan y aurait répondu :
« Je ne veux pas ... Te faire souffrir. ça serait intolérable ... Pour moi. » Elle baissa le regard au sol, génée. Sa voix avait été triste, faible. Comme si elle venait d'avouer une chose qu'elle n'aurait jamais du avouer, mais qu'elle ne se sentait plus le courage ni la force de cacher. C'était exactement cela qu'elle ressentait. Elle n'avait plus la force. Elle laissait tomber. Ce besoin de poser des limites, des barrières. Elle laissait tomber son masque aussi. Rassemblant son courage, le peu qui lui restait en tout cas, Prue releva son regard bleuté vers lui. Elle cherchait le sien à présent. Pour lui parlait, pour lui montrer qu'elle était sincère. Tandis qu'elle parlait, ses yeux fixaient les siens, ce qui faillit la faire chanceler. Un peu plus tôt, elle avait posé sa main sur son bras inconciemment pour lui parler, elle sentait à présent le contracte de température de leur peau. Il avait la peau un peu plus chaude qu'elle. La sienne s'était sans doute rafraichie à cause du vent de nuit qui commençait à se lever. Pourtant, elle n'avait pas froid. Elle n'avait jamais été aussi sincère qu'à ce moment là, avec lui. Ils y étaient, il savait qu'elle n'était pas une fille "sans problème". Mais après tout, ils se ressemblaient. Ils s'étaient toujours ressembler. Elle ressentait de plus en plus cette attraction qui s'exercait entre eux, qui s'étaient toujours exercait d'ailleurs, mais tout particulièrement en ce moment, comme si cela avait été une pure évidence, quelque chose de logique, d'incontournable. Tout était si simple à ce moment là, comparé à la vie de tous les jours. Elle le sentit alors se rapprocher légèrement d'elle, tandis qu'elle le regardait toujours. Elle ne s'en rendit pas vraiment compte, mais sa main se leva vers elle et elle sentit alors sa caresse comme une décharge electrique sur sa joue. Mais une décharge electrique agréable, comme si elle venait de s'electrocuter sans se faire mal, sans ressentir la moindre douleur, juste une sensation agréable. Le temps qu'elle la sente partir, il avait reprit la parole. Elle continua de le regarder dans les yeux puis lorsqu'il eut finit de parler, elle ne su que dire. Bien sûr, qu'elle le voulait. Elle voulait lui montrer qui elle était, savoir qui, lui, il était. Comprendre, expliquer. Dire ce qu'elle savait sur elle, ecouter ce qu'il savait sur lui. Mais elle avait tellement perdu l'habitude de faire confiance, qu'elle ne savait même plus quoi dire, quoi faire, ... Elle était un peu perdue. Elle retourna quelques secondes à la réalité - faut dire qu'elle avait l'impression d'être dans un rêve, comme en apesanteur - et elle s'aperçut alors pour de bon que sa main était posée sur son avant bras depuis un petit bout de temps, tout le long de sa dernière réplique et la sienne, à vrai dire. Ne sachant plus comment réagir, elle la retira doucement en s'escusant. Elle baissa la tête avant de dire :
« J'ai ... J'ai pas l'habitude. Je ne sais pas, je sais plus ... Comment faire ... »
Elle était perdue dans ses pensées. Pourtant, elle savait qu'elle en était capable. Cela pouvait être banal comme ça, dire qui elle était vraiment. Pour elle, c'était tout une étape. C'était vraiment se réveler, une chose qu'elle n'avait vraiment jamais faites, se dévoiler complètement, donner le loisir à la personne en face d'elle de la mettre à terre, de la briser plus qu'elle ne l'était déja, de l'achever en d'autres termes. Seulement, la personne en face d'elle, c'était Aidan. C'était différent. Elle devait retrouver le moyen de dire ce qu'elle pensait. Parce qu'elle en avait vraiment envie cette fois. Elle décida de faire alors ce qu'elle pensait le mieux : la vérité. Il voulait savoir ses peurs ... Se rendant compte qu'elle avait laissé un long moment de silence, perdue dans ses reflexions, elle reprit alors la parole contre toutes attentes :
« La drogue. J'ai peur de la drogue ... Ou plus précisemment de l'emprise qu'elle peut avoir ... Sur quelqu'un. J'ai peur de l'eau aussi. Quand j'étais plus jeune, j'ai faillit me noyer et j'ai pas vraiment oublié. Je suis clostrophobe également ... Je ne supporte pas me sentir captive à quelque part ... J'ai été enfermé dans une cave quand j'avais 13 ans, je pense que ça vient de là ... Je déteste les hôpitaux. J'y suis resté durant plusieurs mois et c'est pas vraiment un lieu qui me manque. J'ai peur de plusieurs détails aussi, mais ça, je ne sais pas l'expliquer. Et j'ai peur ... des gens. Du mal qu'ils peuvent te faire lorsque tu t'attaches à eux. Tu deviens dépendant lorsque tu commences à avoir des sentiments pour quelqu'un. Et jusque là, ça m'a jamais réussit. »
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Dernière édition par Olympia I. Carlson Blakes le Ven 30 Oct - 5:11, édité 3 fois
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Lynnah O. McKelly
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:05 |
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Bienvenue & Merci de ton inscription!! You are the firts =)!! Bonne Continuation ^^
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Angel V. Carlson
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:18 |
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Welcome demie-soeur !
Merci de t'etre inscrite Bonne continuation pour ta fiche & Bon jeu =)
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Olympia I. Carlson Blakes
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Jeu 29 Oct - 21:29 |
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Merci beaucoup Lynnah (: Ouii *_* J'en suis fière
Merci beaucoup demi-soeur
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Ashton N. Callahan
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Ven 30 Oct - 5:30 |
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Welcome ma belle
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Olympia I. Carlson Blakes
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Ven 30 Oct - 5:34 |
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Merci beaucoup
* Au passage, j'ai terminé (:
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Lily C. Jefersson
Blondie | Girls juste wanna have FUN!
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Ven 30 Oct - 13:05 |
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Bienvenue ma jolie ! Ashley <3
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Angel V. Carlson
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% Ven 30 Oct - 13:16 |
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^^ !
Tout est bon Tu es validée & Bon jeu =)
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Sujet: Re: « Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% |
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« Olympia Isis Clarson Blakes » | Un minois d\'ange. 100% |
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