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- { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A |
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Angel V. Carlson
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
♣ posts. : 1215
♣ age. : 32
♦ old year. : { 20.5 years old
♦ love. : { Aimer est une faiblesse. La Haine est une force. Alors je préfere te hair, que t'aimer C, malgré que mon coeur te hurle tout le contraire que je peux te dire.
♦ district. : { #223 Upper East Side, in NY
People's paradise « my affinities »: « info ou intox ? »: « Quelque chose a dire ? »: | Ne vous fier pas à mon prénom ..
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Sujet: - { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A Dim 1 Nov - 1:36 |
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La véritée et le mensonge : « Le mensonge a du bon, finalement. »ce n'est qu'une question de gémissement...
« Chut, ne dis rien. Console moi . »
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7h10 du matin, cuisine
LYNNAH ▬ Tu vas faire quoi ce soir ? Voici, la première question de la journée que posa Lynnah McKelly, à Angel Carlson, connu pour être cousines. Des cousines qui s'adoraient, se ressemblaient physiquement et mentalement où chacune protegait l'autre du mieux qu'elles pouvaient. Levant la tête de son petit dejeunée, elle soupira devant le regard insistant de Lyn' qui ne lui promit rien de bon, si elle donnait une mauvaise réponse. Buvant avec une lenteur calculée son jus d'orange, laissant étirer un sourire moqueur au regard noir que L lui lançais, elle lui répondit en haussant les épaules tout en portant à sa bouche, une tartine, prenant son petit dejeuné comme tout bon humain qu'ils le faisaient quand une journée longue de cours les attendaient. Réponse, qui ne plut pas vraiment à Lynnah d'ailleurs. ANGEL ▬ Je pense que je vais allez à la nouvelle boite de nuit qui est ouvert . Tu sais, le Champagne club ? Au regard interrogateur de sa cousine, elle soupira. Qui ne connait pas le Champagne Club dans cette ville ? Surement Lynnah malgré qu'elle était connu pour tout savoir, surtout niveau boite de nuit. Prenant son temps pour manger son bout de biscotte pour la finir totalement, elle rouvrit la bouche pour expliquer de fond en large, le fonctionnement de cette boite de nuit, venu tout droit de la capitale américaine qu'était Washington DC. Le Champagne Club ? Tu ne connais pas ? C'est une boite de nuit qui vient de Washington DC. La dernière fois que je suis allez dans ce club, je suis revenue avec une odeur de champagne sur mes vêtements et un bon nombre d'alcool inconnu dans mon estomac. La chose la plus marrante dans ce club, c'est que la boite est envahit par des bulles de champagne. Certes, c'est enfantin mais très amusant surtout si tu as un fantasme de coucher avec un mec avec du champagne à la clé. Les habitutés sont tous des riches personnes comme toi et moi, vu le prix de l'entrée. J'ai put avoir d'ailleurs, le pass VIP par l'un de mes contacts et je ne vais pas me privé d'y allez, surtout que l'alcool est succulent las-bas même si tu y met le prix. Je te conseille d'y allez, tu verras, tu t' y amuseras. Fait moi confiance. ELLAH ▬ C'est pas las-bas où il y eu un mort ? Tournant la tête vers la nouvelle arrivante, elle la regarda d'un oeil noir par tant d'annerie. Terminant son petit dejeuné, elle se permit de lui répondre malgré que sa cousine, était d'accord avec Ellah. Comme quoi, la couleur de cheveux d'E qui était le blond, lui atteignait le cerveau en moins de temps de dire " ciao ". Prenant sa voix méprise et sérieuse, elle se leva pour poser ses ustensile tout en lui répondant malgré qu'elle n'en avait pas du tout envie. ANGEL ▬ Tu as trop vue, Bones Jeaks. . Le regard noir sur sa personne ne lui donna ni chaud ni froid. Posant son verre dans le lave-vaiselle, elle ne se retourna pas quand la quatrième personne entra dans la grande cuisine amménager malgré son envie de le regarder. Car, si il y avais bien une chose qu'elle faisait dans cette appartement était d'éviter le quatrième habitant de l'appartement : Cameron Douglas. C'est d'ailleurs pour cela, quand celui-ci prit la parole, l'intention de partir y était. CAMERON ▬ Bonjour . Vous parlez de quoi ? ANGEL ▬ Du Champagne Club. Posant ses autres ustensiles dans le lave vaiselle, elle le ferma pour ensuite s'essuyer des mains et partir en direction de la sortie de la cuisine. Ouvrant la bouche pour s'adresser à n'importe qui dans la salle, elle partit quelque secondes après malgré son envie de rester dans la cuisine. Et c'est en maudissant son coeur certes brisé, mais coeur quand même qu'elle ajouta d'une voix ennuyé pour ensuite partir en direction des escaliers ayant l'intention de s'habiller. Ne m'attendez pas ce midi et ce soir. Je mange avec des amis. A demain
N'attendant pas une réponse de leur part, la jeune femme montit les escaliers pour s'enfermer dans sa chambre. Se dérigant vers la salle de bain, elle y resta une bonne demie heure malgré qu'elle ne prenait pas vraiment son temps. Seul ses pensées pouvaient avoir la raison de ses un quart de plus, elle qui en prenait qu'un quart d'heure normalement. Soupirant, comme le fait que d'etre amoureuse depuis treize ans d'une même personne était pathétique - et non fleur bleue comme certain, le penserait - elle sortit de la bouche, habillée seulement d'une longue serviette. Fermant ensuite, la porte de sa salle de bain, elle partit dans l'autre salle adequat à sa chambre, se révelant être un grand dressing. S'arretant son regard chocolat se posa sur les nombreux vêtements se demandant lequel mettre. Vêtements de marque différentes, passant d'une simple ceinture de D&G, à la veste en cuir rouge venant tout droit du Japon, tous ses vêtements coutait une réelle petite fortune pour un américain modeste. Se décidant finalement qu'elle n'allait pas rentrée à son appartement avant le lendemain, ne voulant surtout pas tomber sur l'un de ses trois collocataires pour des raisons différentes, elle enleva d'une rangée, un pantalon en cuir noir moulant, avec un simple top noir ne cachant pas ses reins où son tatouage se faisait voir. Attrapant une veste en cuir noir et une paire de bottes a talon quasi-haut, A sortit de son dressing pour s'habiller. Un quart d'heure plus tard, on pouvait voir Angel farfouiller dans son sac, pour voir si elle n'avait rien oublier. Remettant une mèche derrière les oreilles, elle prit sur elle son sac de cours, ses clés de sa voiture et enfiller sa veste en cuir, avant de claquer la porte de sa chambre pour redescendre les escaliers et partirent se fichant pas mal, si elle n'a pas été poli de dire qu'elle s'en allait pour l'université, bien trop occupée à penser à la soirée de la veille.
Ouvrant la porte de sa voiture après avoir passer l'allée qui la menait à son parking, Angel Carlson y entra avant de démarrer cette dernière pour partir cinq minutes plus tard , à l'université qui était qu'a quelque minutes de chez elle. Voila l'avantage d'habiller dans l'upper east side. Même si on se réveillait en retard, on était toujours a l'heure puisque l'université était proche ainsi que le fait, qu'avec leur relation parentale, les employés de l'université, ne metterait jamais quelque chose a ses élèves là ayant bien trop peur de perdre leur poste, en même pas quelque secondes. Souriant face a cela, sa voiture se gara dans sa place privée - on est riche, ou on ne l'est pas - avant de partir de sa démarche sensuelle, tête sur les épaules, souriant à ses proches ou en fusillant les personnes qu'elle n'aimait pas. Et c'est ainsi après avoir trouvée sa meilleure amie Lily Jefersson qui avait une tête qui lui indiqua que L avait fait la fête au bout de la nuit - l'aube - qu'elles partirent à leur cours communs : les maths. Maths, quel calevère et c'est avec un soupire resigner qu'elle s'installa à sa place, prenant de quoi ecrire tout en pensant, que sa journée allait être très très longue vu les minutes qui se déroulèrent, très doucement. Comme quoi, même quand on s'appelle Angel Carlson, on ne pouvait pas bousculer les minutes et les heures et c'est en maudissant la loi du temps et les cours ennuyeux, qu'elle continua sa journée de cours avec l'attitude d'une personne qui aurait préferer être a l'autre bout du monde, qu'a ses cours si n'ayant pas de droit pour la journée. Fichu emploi du temps.
23h46 , Champagne Club
La journée avait passé malgré que les minutes duerent des heures. La soirée arriva à son long pas où on pouvait apercevoir miss Carlson, présente devant le Champagne Club à 22h46 avec Lily Jefersson et d'autre amis. Entrant dans le club et souriant aux personnes déjà présente qui se chargèrent de la sécuritée de la boite, les étudiants partirent posés sac et veste pour certain, avant d'entrer dans la salle principale qui servait de bar et de piste de danse, là où les bulles de champagnes envahissait la pièce. Et c'est ainsi que déroula la soirée. Entre danse et coupes de champagnes buent, où pouvait retrouver une Angel Carlson, de mauvaise humeure avec un énième verre de champagne fruitée à la main, assise sur un fauteuil en cuir regardant la piste de danse cherchant sa proie du moment alors que Lily, la jeune blonde la regardait avant de prendre la parole, la voyant boire encore un verre de champagne. Même si le champagne ne tuait pas, ca rendai saoule même si on parlait d'Angel Carlson, présente depuis une heure et ayant déjà enfiller cul sec, six verres de ce breuvage français là. Et ça, commencait à inquieter la blonde d'ailleurs, vu sa question qu'elle répetait depuis dix fois déjà, sans qu'A lui réponde vraiment.
LILY ▬ Tu es sur que tu vas bien Angie ? Question que répetait une bonne quinzaine de fois sa meilleure amie Lily, après qu'elle eu vent que Eleanor Wilson avait été dans le champs de vision de Cameron Douglas dans l'après-midi. Certes, elle ne devait pas se meler de tout cela, mais quand on avait le caractère jaloux d'une Carlson, mieux vallait mieux s'y tenir, d'où sa mauvaise humeur de la soirée alors qu'elle avalait son sixième verre de champagne fruité sans donner signe qu'elle commencait à être saoule. Voila l'avantage d'avoir commencer jeune l'alcool - ou plutôt le champagne - elle pouvait boire autant de coupe qu'elle le voulait, elle ne saurait jamais ivre même après avoir bu deux bouteilles de champagne. S'amusant avec une bulle de champagne qui arriva vers ses cheveux aubruns, elle se permit de répondre à la question de Lily qui s'inquietait vraiment. ANGEL ▬ Bien sur que je vais bien Lilou. Pourquoi n'irais-je pas bien ? Le regard insistant de L ne lui donna rien qui vaille, où elle maudit le caractère déterminée de cette dernière, quand elle entendit la réponse de la blonde. Avalant cul sec son sixième verre, elle se permit d'en reprendre un autre sout l'oeil assasion de L qui lui prédit mille torture si elle buvait ce septième verre, en même pas une heure qu'elle s'étaient présente. LILY ▬ Peut-être parce que tu as bu sept verres en même pas une heure ? Ou bien est-ce le fait que Dom Juan a encore frapper ? Elle se mordit les lèvres quand Angie lui renvoya un regard noir et surpris n'ayant pas été informer de cela. D'ailleurs L, vit le verre de champagne d'A descendre dans son estomac après ses paroles. Paroles qui eurent une réponse alors qu'elle voyait Angie se lever, ayant bien l'intention de s'amuser et de prendre un autre verre d'alcool aux passage. ANGEL ▬ Tu sais très bien que ce n'est pas du champagne, qui va me rendre saoule Lily. Se levant du siège en cuir où elle était, elle trouva une personne à son gout malgré qu'elle savait qu'il ne viendrais pas dans son lit ce soir là, ayant autre chose de prévu a faire. Un autre coup d'oeil vers le barman, lui fit penser qu'elle pourrait reprendre un verre après avoir danser avec un inconnu brun aux yeux bleus. Sa voix se refit entendre alors qu'elle laissait sa veste en cuir sur le siège, là où Lily était fatiguée par les nombreuses danses enchainés en même pas, une heure. Je vais danser Angie. Je nous rapporte un verre, après que j'ai le nom de celui-là en main.
C'est ainsi qu'on pouvait voir Angel Carlson danser avec un inconnu qui se retrouva être son prochain amant le lendemain, pour partir après la danse faite, chercher deux verres de champagne fruitée. Même après avoir but tout ses verres, miss A controlait parfaitement la situation où elle continuait a boire sans être ivre, jusqu'a les une heure du matin, ayant l'intention de rendre une petite visite chez un de ses amis, qui se trouvait être la meilleure personne quand on avait besoin d'etre reconforter et changer ses idées de la tête. Et miss Carlson, en avait vraiment besoin d'où son aurevoir à une Lily avec les joues quelque peu rougatre, hochant la tête bien trop occupé a danser avec deux hommes, qui étaient venus pensant que l'un finirais avec Lily.
1h00 du matin, #231
Après être partit du Champagne Club avec un arrière gout de champagne dans la bouche et après avoir dit à ses amis qu'elle devait voir quelqu'un, elle entra dans la limousine familliale qui était venue la chercher car c'était bien connu : ne pas prendre le volant quand on avait de l'alcool dans le sang et était bien trop jeune pour mourir, elle préferait que l'un de ses employés viennent la chercher même si il était une heure du matin. Fermant les yeux un instant, elle les ouvrit quelque secondes plus tard, quand le chauffeur le déposa. Lui disant qu'il n'avait pas besoin de l'attendre - elle n'était pas si sadique quand même -, elle sortit de la limousine blanche avant de partir vers l'un des appartement de l'Upper East Side : le 231. Appuyant sur la sonnette, elle entendit que le proprietaire - et seul proprietaire - daigne lui ouvrit où un sourire en coin apparut aux lèvres quand Matthias Daswhood lui ouvrit, ne s'attendant surement pas à sa venue, aussi matinale que tartive alors qu'elle ouvre la bouche pour lui parler.
ANGEL ▬ Salut, j'espère que je ne te dérange pas trop. . Souriant face au sourire du jeune homme lui était prédistiner et à la soirée qu'ils avaient passer, elle remit une de ses mèches derrières son oreille, après avoir croisser les bras sur sa poitrine, commencant à avoir froid. Commencement où Mathias ne fit rien pour faire arreter cela, d'où sa voix à l'adresse de M qui la détaillait. Ce n'est pas que ta vue ne m'enchante guère - au contraire - mais il fait froid et comme tu le vois, je ne suis pas vraiment habillée pour me proteger du froid. Ca c'était sur. Ses vêtements qu'elle portaient, autrement dire un pantalon en cuir moulant faisant voir ses formes généreuses et ses bottes noir en talon, ainsi que le top qui avait finalement remonté, ne cachant que le stricte minimun et sa veste en cuir, ouverte malgré qu'elle pouvait la fermer - mais trop heureuse de montrer sa tenue, elle l'avait oublier - et c'est avec un sourire en coin, qu'elle entra dans l'appartement tant visiter de Matthias Dashwood, un ami avec qui ils entretenaient une relation ambigue depuis quelque temps déjà, après qu'il s'est décallé de façon à la laisser passer. Finalement, elle n'avait pas assez but pour oublier qui elle était, maitrisant parfaitement l'alcool, savant très bien ce qu'elle voulait dans son esprit quasi-embué par l'alcool, était un Matthias dévetu qui lui donnait du reconfort, qu'elle avait tant besoin. Et c'est avec un sourire qui se fit séducteur, qu'elle se mit sur la pointe des pieds, posant ses lèvres sur celle du jeune homme, lui faisait donner un aperçut de ce qu'elle avait fait de sa soirée hier soir. Un gout d'alcool quasi-fruité était le gout qu'elle avait dans sa bouche, malgré que tout ses gestes lui prouvait qu'elle n'était pas ivre, mais maitre de ses émotions où elle inclina la tête de façon à lui murmurer quelque chose à l'oreille d'une voix sensuelle après qu'elle est stopper le baiser chaste qu'elle avait donné à M.
Dernière édition par Angel V. Carlson le Lun 2 Nov - 20:08, édité 3 fois
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matthias dashwood
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Sujet: Re: - { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A Dim 1 Nov - 16:12 |
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La conscience ? Elle n'empêche jamais de commettre un péché. « vivons dans le péché sans morale... »Elle empêche seulement d'en jouir en paix !
vivons dans le péché, mens moi jusqu'au bout de la nuit, et à chaque vêtements que tu me retireras, dis moi combien tu es fou de moi...
03h24 - Bar La seule chose dont il avait besoin, se trouvait là, entre ses mains, ce verre d’alcool qui lui ferait définitivement oublier tout le reste. S’évader, s’enfuir, comme si il n’était plus enfermé dans ce corps qu’il détestait tant à présent, il voulait juste pouvoir s’extraire de cette enveloppe corporelle qui ne lui ressemblait que trop peu. Il porta le verre d’alcool à ses lèvres. Le goût amère et fort de cette substance transparente s’immisça dans sa bouche et descendit jusque dans son estomac. Il avala d’une traite le liquide contenu dans le verre qu’un des barmans avaient posé devant lui, quelques instants plutôt. Les paupières closes, il se contentait simplement de ne penser à rien d’autre, qu’à la sensation de brûlure que provoqua le liquide contre la paroi de sa gorge. Finalement, il reposa le verre à sa place initiale, et dans un élan d’énergie, descendit rapidement du petit fauteuil sur lequel il était assis. Son ami l’interpellait, depuis déjà une bonne dizaine de minutes. Le magnifique blond avec qui il faisait les quatre cents coups depuis des mois, voir des années, avait eut la bonté de lui trouver une fille plutôt jolie, contre laquelle il pourrait s’endormir, après des ébats sans aucun doute, particulièrement agités. En avait il vraiment envie ? Non. Il ne désirait pas vraiment sentir la peau d’une femme contre la sienne ce soir là, ce soir là, où toutes ses barrières étaient tombées. Il n’avait fallut qu’un coup d’œil vers la table d’à côté, où la fille qu’il appréciait tant était en train de se faire emballer grossièrement par un adolescent boutonneux. Cette image trottait dans sa tête et lui donnait l’envie de vomir, purement et simplement, il essayait de la chasser depuis quelques instants déjà, mais en vain. Il se contenta d’inspirer profondément, humant l’air pollué du bar, tout en se dirigeant vers son ami. Il arriva en seulement quelques pas à sa hauteur, le grand blond provoqua un choc dans sa silhouette entière en tapotant légèrement son épaule.
« Tu faisais quoi mec ? Tu attendais qu’elles ne s’enfuient ou quoi ? La prochaine fois que tu risques de me faire louper un canon comme ça, je ne t’attends pas, aller, viens, la limousine nous attend bon sang ! » Ne se priva pas de le réprimander son ami. Celui-ci n’était autre que l’un de ces enfants de bonne famille, bien trop riche pour avoir des bonnes manières. Depuis qu’il le fréquentait, ce dernier n’était jamais repartit seul, mais toujours accompagné d’une splendide jeune femme, aux mensurations d’un mannequin, agrippé à son bras, comme s’il risquait de s’enfuir. Au début de leur amitié, Matthias avait trouvé en lui un modèle mais à en voir la façon dont elles arrivaient vers lui, s’offrant à ce grand blond juste en connaissant son nom, celui d’un des plus riches hommes du monde, Matthias avait cessé de l’admirer. Il n’avait besoin de rien faire pour simplement avoir le monde entier à ses pieds, aucune personnalité, aucun humour, aucun charme, souvent le jeune brun se demandait ce qu’il faisait encore avec lui. Peut être était ce parce que finalement, c’était lui qui achetait les meilleures drogues de toute la ville ? Sûrement. De toute façon, il n’était qu’une connaissance, pas un ami comme on s’amuserait à les décrire réellement. Matthias se hissa dans la limousine, suivi de près par son acolyte, totalement excité par la perspective de la nuit qui l’attendait. Matthias se laissa tomber sur l’une des banquettes de cuir noir et dévisagea les deux jeunes femmes que son ami avait trouvées. Elles étaient loin d’être laides, c’était certain. L’une était grande, blonde, avec un regard vert des plus expressifs, elle le regardait avec un petit air à la fois timide et espiègle, ce genre de petit regard qui aurait facilement put le faire craquer s’il n’avait pas l’esprit si préoccupé. Il lui sourit lorsqu’il s’aperçut qu’elle tentait d’accaparer son attention, en remontant, l’air de rien, sa jupe, déjà trop courte, sur ses cuisses. La petite brune, assise au départ à côté de son amie, se trouvait déjà à califourchon sur les genoux de son ami. Celui-ci n’avait plus aucune retenue dans la longue limousine, ses mains baladeuses dégrafaient déjà le soutien gorge de la petite brunette, dont le nom resterait inconnu aux deux jeunes hommes. La grande blonde se décala doucement pour se rapprocher de Matthias, il ne quitta pas la vitre des yeux, comme s’il n’avait pas vu qu’elle venait vers lui, qu’elle comptait sûrement s’offrir à lui, ici et maintenant, comme s’il pouvait en avoir envie. Doucement, elle vint déposer ses lèvres d’une douceur extrême sur sa joue, mais il la repoussa gentiment.
« Pas ici, pas maintenant… » Lui dit il, un petit sourire désolé sur ses grandes lèvres attirantes. Matthias n’avait pas vraiment l’habitude de choses, en public qui plus est. Quel genre de personne pouvait faire cela, avec une once de morale ? En tout cas pas lui, il reposa son attention à la vitre teintée de la limousine. Au dehors, la nuit était bien tombée, et les rues semblaient désertes, si l’on oublie les quelques jeunes femmes, accoutrées de façon provocante sur le trottoir, attendant simplement la venue d’un homme généreux qui leur fournira quelques dollars contre un moment de plaisir charnel. Il les plaignait, mais les admirait à la fois. C’est vrai, quelle personne peut avoir assez de courage pour se vendre, même aussi près du néant ? Aurait il eut cette force ? C’est certain que non, il avait de toute façon toujours été habitué à une vie confortable, il n’avait manqué de rien, si ce n’est d’amour ces quelques derniers mois. La limousine freina brusquement, ce qui provoqua un léger grognement à côté de lui, il tourna la tête vers le grand blond qui parcourait de ses lèvres la poitrine de la jolie brunette. Aucune morale, ou bien trop d’alcool ? Quelle était la solution ? Il n’en avait aucune idée, mais il savait une chose, la jolie blonde semblait aussi gênée que lui. Il ouvrit la porte de la limousine et se hissa dans l’air glacial de ce mois de novembre. Il tendit la main à la jeune femme et la pria de bien vouloir s’extraire du véhicule. Pas qu’il est changé d’avis, mais au moins pour lui éviter de passer un sal moment dans cette limousine, car c’était certain, les deux amants ne comptaient apparemment pas s’arrêter en si bon chemin. Il lâcha sa main une fois dehors, et se contenta de marcher à une allure lente, se calant sur le pas de la jolie blonde afin de l’amener dans son appartement. L’upper east side et ses grands immeubles, et ses jeunes de bonne famille. L’endroit était désert, ou presque, normal puisque tous étaient sûrement en train de s’amuser, de boire, un peu trop et de draguer afin de ne pas repartir seul. Des fêtards, des enfants de riches qui ne faisaient que cela, qui ne prenaient pas vraiment le temps de travailler pour obtenir des bonnes notes, il paraît que quand l’on est riche, tout nous est permis, pourtant, Matthias n’était pas ainsi. Pas lorsqu’il s’agissait d’études. Il voulait percer dans le cinéma, devenir acteur ou comédien, mais surtout pas en utilisant pour cela les relations de son père. Il enfonça la clé dans la serrure et ouvrit la porte de son logement, acheté quelques mois plus tôt. Une décoration à la fois chaleureuse et plutôt moderne faisait de l’endroit le coin de paradis du jeune homme. Il aimait s’y retrouver, y être bien, vraiment, et il faisait tout pour. Il fit signe à la grande blonde longiligne d’entrer et la débarrassa de la grande veste noire qu’elle portait. Sous celle-ci, un petit top rouge, sans bretelles, couvrant à peine sa poitrine accompagnait la petite jupe en jean qu’il avait crut apercevoir dans la limousine avant qu’elle ne la remonte. Il sourit, et ne put s’empêcher de la dévisager. Il était un homme, malgré qu’il puisse posséder un cœur. Un homme qui aimait les belles choses, les filles comme celle que son amie lui avait soigneusement choisi ce soir là. Elle vit qu’elle lui plaisait, puisqu’elle risqua un pas vers lui et l’embrassa furtivement sur le bout des lèvres. Une experte, ainsi elle savait pertinemment, qu’elle faisait monter en lui le désir. Il posa ses mains délicatement sur les hanches de la belle et déposa un baiser sur ses lèvres, plus insistant cette fois, la jeune femme passa ses mains dans la nuque du beau brun, mais celui-ci se retira, au bout de seulement quelques secondes. Il ne pouvait pas faire cela, pas avec elle, pas qu’elle ne soit pas splendide, simplement qu’il ne savait pas le faire. Son esprit était ailleurs, et il ne se sentait pas apte à promettre du plaisir à une inconnue dont le nom lui restait totalement anonyme. Il se redressa, retira ses mains de la jeune femme et plongea ses grands yeux dans ceux de la belle.
« Je ne connais même pas ton prénom... Je ne sais rien de toi… Je ne peux pas, je suis désolé. Je vais aller prendre une douche, tu peux resté ici si tu le désires pour la nuit, ou appeler un taxi, tiens pour te payer le taxi, ce soir ou demain matin » dit il en lui tendant un billet vert qu’il sortit de sa poche. Il n’ajouta rien de plus, il se contenta d’un nouveau regard désolé avant de monter à l’étage, dans l’idée de prendre une douche qui le débarrasserait de tout cela. L’alcool coulait dans ses veines, tout comme l’envie de dormir, de ne plus penser à rien. Il monta les escaliers, quatre à quatre et se rua dans l’immense salle de bain lumineuse qu’il avait installé dès son arrivée. Il fit couler le jet d’eau brûlante, et se déshabilla rapidement. Sa veste en cuir se retrouva à terre, son tee-shirt suivi, puis il se débarrassa finalement de son jean ainsi que de son boxer, et se hissa sous la pomme de douche qui déversait des gouttelettes d’eau chaude. Il profita de cet instant, comme si cela le débarrasser de tous ses maux, de tout ce qui le préoccupait malheureusement. Jouer, semblait bien souvent n’amener que des ennuis, comme lorsque son cœur se trouvait bousculer par des envies d’exclusivité. La voir avec d’autre, la savoir avec d’autre semblait si douloureux. Pourtant, entre eux ce n’était qu’un jeu stupide, débuté peu de temps à une soirée, mais voilà qu’elle se mettait à le hanter, à l’empêcher de s’envoyer une quelconque inconnue, et à en être presque impoli. Au bout de quelques instants, il s’enroula dans une serviette chaude, coupa l’eau et se dirigea dans l’immense chambre qui était la sienne. Il se sécha, enfila un boxer et se laissa tomber sur le lit, ne se faisant pas prier pour être rapidement dans les bras de Morphée, les paupières closes, l’air paisible, il dormait… 16h25 - # 231 La sonnerie de la porte d’entrée l’éveilla dans un mouvement brusque, un sursaut. Voilà une bonne façon d’être certain que la jeune homme serait ainsi de mauvaise humeur. Il jeta un coup d’œil au radioréveil, posé sur sa table de nuit en verre. Une heure si avancée dans l’après midi. Il avait raté la plupart de ses cours, si ce n’est pas tout. Le sommeil l’avait emporté et à aucun instant il ne s’en était extrait pour aller à l’université. Il soupira, quand la sonnerie retentit à nouveau dans la villa entière. Un mal de tête épouvantable s’empara de lui. Il s’étira longuement, n’ayant en réalité aucune envie d’aller ouvrir, pourtant, peinant à mettre un pied devant l’autre, il se rua jusqu’à la porte d’entrée afin de faire cesser ce bruit épouvantable. Il tourna la poignée et dans l’encadrement de la porte, le grand blond de la veille, les cheveux en bataille, style négligé recherché, se tenait devant lui. Un regard interrogateur prit place sur le visage de Matthias qui dévisageait son visiteur.
« Quoi ? Ce n’est pas encore l’heure de sortir à ce que je sache, pourquoi es tu là ? Qu’est ce qui te donne le droit de me réveiller ? » Le questionna Matthias en laissant un infime espace pour que son ami pénètre dans la ville. « Pourquoi n’as-tu pas couché avec elle ? Qu’est ce qui ne tourne pas rond chez toi bon sang Matthias ? » Commença à s’énerver le grand blond d’habitude d’un tempérament plutôt posé. « Cela ne te regarde pas bordel mec ! Ma vie sexuelle ne te regarde pas, compris ? Alors maintenant fous moi la paix ! » Pesta le jeune brun qui regrettait déjà d’avoir quitter sa couette pour ce genre d’entrevue. « Je ne te reconnais plus Matthias ! Qu’est ce qu’il t’arrive ? T’es amoureux ou quoi ? » Demanda t-il, un petit ton ironique dans la voix. Matthias le fixa intensément, l’espace de quelques secondes. Il l’exaspérait avec ce genre de réflexion bon sang. Matthias ferma les yeux et voulut que son ami disparaisse de sa vue, ce qui ne fut bien sûr pas le cas, au contraire le grand blond semblait intrigué par le manque de réponse de Matthias. Son regard était plus insistant encore quand le grand brun daigna enfin le regarder à nouveau. « Vas t-en, j’ai pas envie de me prendre la tête d’accord ? Alors vas t-en ! » S’emporta Matthias sans réellement le vouloir. « Hey, mec, t’énerves pas, on est potes non ? On sort toujours ce soir ? » Demanda t-il tandis que le brun le poussait déjà vers la porte. « Fous moi la paix. » Répondit simplement Matthias Dashwood tandis qu’il referma la porte sur celui qui venait de l’éveiller. Ce fut à nouveau comme s’il n’avait pas dormi, ce sont les mêmes pensées qui réintégrèrent son esprit alors que le grand blond assez maladroit venait de toucher son point sensible. Il soupira un instant, puis se dirigea dans la cuisine afin de se préparer un bol de céréales. Il l’emporta avec lui jusque dans le petit salon où il se laissa tomber, zappant les chaînes jusqu’à en trouver une qui lui convenait, c'est-à-dire indéfiniment, vu les programmes stupides qui passaient en cette longue journée. 01h00 # 231 Matthias n’avait pas fait grand-chose de sa journée. Il avait réussi à trouver le courage de prendre une nouvelle douche et de se vêtir, mais la force de sortir n’était vraiment pas là. Il ne voulait tout simplement pas à nouveau être confronté à son ami qui le questionnerait à coup sûr. Être tranquille, c’est la seule chose à laquelle il aspirait, pourtant, à nouveau, la sonnerie de l’immense logement luxueux de Matthias Dashwood résonna à nouveau. Il pesta, s’il s’agissait de la même personne que plus tôt dans l’après midi, il n’ouvrirait pas, c’était certain. Il n’avait aucune envie d’aller se défoncer, d’aller boire et de rentrer, ivre au bras d’une blonde qu’il ne toucherait pas. D’un pas non chaland il se dirigea vers la porte et quelle fut sa surprise quand une silhouette aux courbes féminines et sensuelles se dessina dans le noir. Il ouvrit la porte et sourit. Elle était splendide, dans son pantalon de cuir. Ses longues jambes étaient parfaitement mises en valeur par ses bottes à talon, et son petit haut qui laissait entrevoir son corps parfait lui allait si bien. Postée devant chez lui, Angel Carlson. Voilà la première bonne nouvelle de la journée. La splendide brunette savait toujours réconforter le grand brun. Ils se connaissaient si bien tous les deux, finalement. Elle était son remède à tous ses maux, elle savait lui faire oublier, et c’était réciproque. C’était là la base solide d’une amitié complice. Tout deux se connaissaient depuis le lycée, mais le jeune brun n’avait jamais put détester celle que tout le monde surnommait la reine des glaces. Au contraire, ils s’étaient tout de suite aimer, en amis bien entendu, jamais plus, pourtant, c’est ensemble qu’ils s’adonnaient aux pêchés, tel que le mensonge, ou encore la luxure. Ensemble, c’était tout ce dont ils étaient capables. Pêcher et être bien, tout oublier, comme si les problèmes s’évanouissaient en sa compagnie.
« Tu ne me déranges jamais voyons Angel Carlson. » Répondit il aux premiers mots de la jeune femme. Son visage aux traits fins et doux était magnifique, illuminé seulement par la lune dans le ciel. Mais il n’eut pas le temps de se perdre dans son regard qu’elle parla à nouveau, un petit sourire se dessina sur les lèvres de Matthias. Unique, cette fille l’était. Il se décala légèrement, et lui fit signe d’entrer dans l’immense loft qu’il occupait. « Je m’en voudrais que tu attrapes froid… » Susurra t-il à son oreille lorsqu’elle fut à sa hauteur. Puis, il referma la porte derrière lui et la scruta d’avantage. La lumière la rendait encore plus séduisante qu’elle ne l’était déjà. Elle se hissa rapidement sur la pointe des pieds afin de déposer un baiser sur les lèvres du beau brun. Ainsi, elle lui faisait parfaitement comprendre l’objet de sa venue. Autant dire qu’un frisson d’excitation s’empara de l’être entier du jeune homme. Oh oui, c’était exactement ce dont il avait besoin, la splendide Angel dans son lit, le réconfort qu’elle lui apportait était incomparable à tout ce qu’il connaissait. Elle le connaissait si bien qu’elle ne se trompait jamais pour lui offrir un plaisir tel qu’il en oubliait tout ce qui le préoccupait normalement. Ce baiser, il le prolongea, passionnément et tendrement à la fois. Une odeur alléchante vint jusqu’à son petit nez retroussé. L’alcool, le champagne. Elle sentait le champagne. Etait elle ivre ? Il ne fallait pas la connaître pour penser une telle chose. Angel pouvait supporter l’alcool, le champagne en particulier, mieux que quiconque. Elle était maître d’elle-même à cet instant précis, ce qui rendait les choses bien plus intéressantes. Elle inclina la tête et d’une voix sensuelle, lui susurra quelques mots. Aime moi. C’était une habitude entre eux. Le mensonge, ils n’étaient qu’amis, aucun d’eux ne s’aimaient plus que cela. Mais pourtant, elle avait ce besoin d’amour, ce besoin, que l’on comble ce manque affectif, et Matthias le faisait avec plaisir pour son amie, il aurait tout fait. Il la serra contre lui, posant ses mains sur les hanches parfaites de la petite brune, il approcha ses lèvres de l’oreille de la jeune femme, et déposa un doux baiser sur son lobe.
« Je t’aime » Murmura t-il doucement, d’une voix douce et tendre. Il embrassa fougueusement le cou de la belle, et huma son parfum doux, féminin, mélangé au champagne, tandis qu’elle était là, entre ses bras, s’offrant a lui pour un peu de réconfort. Matthias savait pertinemment la chance qu’il avait d’avoir une amie comme elle. Ils étaient si complices, si proches. Doucement, ses baisers se firent plus insistant sur le creux du cou du la jeune femme, puis descendirent jusque dans le début de son décolleté. Il embrassa tendrement cet endroit et remonta embrasser ses fines lèvres fruitées. Ses mains se baladaient déjà dans le dos de la jeune femme. Sa peau brûlante contre celle de la jolie brunette, il ne détachait plus ses lèvres de celle de Angel Carlson. Doucement, il remonta ses mains sur le visage de sa belle, comme pour s’en emparer, et la conduisit doucement à le suivre, dans les escaliers, sans cesser de parcourir son visage de baisers brûlants.
Dernière édition par matthias dashwood le Mar 3 Nov - 17:43, édité 1 fois
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Angel V. Carlson
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
♣ posts. : 1215
♣ age. : 32
♦ old year. : { 20.5 years old
♦ love. : { Aimer est une faiblesse. La Haine est une force. Alors je préfere te hair, que t'aimer C, malgré que mon coeur te hurle tout le contraire que je peux te dire.
♦ district. : { #223 Upper East Side, in NY
People's paradise « my affinities »: « info ou intox ? »: « Quelque chose a dire ? »: | Ne vous fier pas à mon prénom ..
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Sujet: Re: - { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A Dim 1 Nov - 23:52 |
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« Ange. Ange de la luxure je suis. Tes lèvres ont un gout d'interdit. Alors mon Roméo, péchons ensemble cet interdit, ...
6h20 du matin, chambre d'A
La chambre d'Angel. Chambre connu pour avoir une grande surperficie, ressemblant plus à un loft qu'une simple chambre. Chambre où régnait le luxe où chaque recoin de la pièce, exprimait l'opinion de miss Carlson sur le monde d'aujourd'hui. On pouvait voir ce matin là, les rideaux de sa fenêtre ouverts, n'ayant pas prit le temps de les fermer la veille au soir. Certains vêtements étaient éparpiller dans chaque recoin de la pièce où bon nombre de vêtements se retrouvaient dans des endroits que certaines personnes trouvaient impossible de les avoir mit là. On pouvait donc voir, une chemise blanche balancer sur le bureau d'A se retrouvant bien a quelque mètres du lit de queen qu'elle avait. Une ceinture était confortablement installer vers la porte d'entrée, se demandant bien comment elle était arrivée là, alors que le lit s'y trouvait a bien vingts mètres de là. D'autres vêtements étaient plus disposés au pied du lit, encadrant du même fait un homme et une femme plongé dans le sommeil où seul la couverture mal mise pouvait montrer au monde, qu'ils étaient aussi nu qu'un ver. D'ailleurs, un leger bruissement de tissus, se fit entendre dans la chambre calme de la jeune femme alors que le soleil commencaient tout juste à se lever. Un seul bruit de pas qui cherchait des affaires, donna l'idée à A que son amant de la nuit, partait sans lui avoir donner son baiser d'adieu. C'était comme cela avec Angel. Elle devait avoir son baiser d'adieu clariffiant bien qu'ils ne se retrouveraient jamais dans cette unique situation. Ouvrant les yeux et en maudissant les rayons du soleil matinale, pour les refermer ensuite s'entant venir un mal de crâne, elle les ouvrit quand elle entendit une chemise enfiller à la va-vite. Ouvrant les yeux, elle tourna la tête pour voir un jeune homme qui devait avoir cinq ans de plus qu'elle, boudonner sa chemise froissée. Un sourire en coin apparut à ses lèvres quand elle remarqua que l'une des manches avait été presque arrachée. Se levant quelque peu de son lit, le jeune femme prit le haut de la chemise, la tirant vers elle, emmener au même geste le brun qui avait passer la nuit avec elle, cette soirée là. Posant ses lèvres sur celles masculine du jeune homme, elle l'embrassa se maudissant d'avoir choisi un brun aux yeux marrons foncé, lui faisant penser a une personne trop importante dans sa vie de lady. Se decallant ensuite, elle lui adressa un sourire avant de sortir de son lit, aussi vetu que le jour de la naissance, prenant bien soin d'éteindre son réveil n'ayant pas la force de se rendormir. Elle se dériga ensuite vers la porte de la salle de bain, prenant aucun vêtements pour se couvrir n'étant pas quelqu'un de pudique avant d'entendre sa voix cristalline et quasi-éveillée qui brisait du même fait, le silence relaxant qui s'était imprenier de sa chambre, n'adressant pas un regard à son amant d'un soir qui terminait de s'habiller.
ANGEL ▬ Je ne te raccompagne pas vers la porte d'entrée. Tu sais où elle se trouve . C'était toujours comme cela avec Angel. Elle ne raccompagnait jamais ses amants d'un soir vers la sortie car elle trouvait bon de sortir de la salle de bain pour apercevoir sa chambre vide. Elle s'était fixer ses règles et bon nombres d'hommes les respectait. Certes, il y avais toujours certaines personnes qui voulaient plus d'une nuit avec la belle brune qu'était A, mais peu en avait une seconde nuit. Et mieux ne valait pas l'énerver de bon matin puisqu'elle était connu pour être du matin qu'après avoir but son café au lait, et pas avant. Elle se rappella encore le jour où une de ses amis avait presque defoncer sa porte pour lui dire qu'elle sortait enfin avec l'homme de sa vie. Son amie n'avait plus jamais le coup car déjà qu'une Angel sarcastique faisait peur, alors imaginer une Angel sarcastique et doublement menancante au reveil n'ayant pas sa dose de caféine de la journée. Ca faisait très peur et cela ses collocataires - surtout sa cousine Lynnah - le savait mieux que quiconque. La voix du jeune homme se fit entendre un sourire apparut à ses lèvres à l'entende de ses paroles. AMANT ▬ On se reverra ? La voix du jeune homme était presque teinté d'espoir, où lui jetant un dernier regard alors qu'elle ouvrait la porte de sa salle de bain, un soupir sortit de sa bouche. Seul deux mots répondit à la personne avec qui elle couché - et d'ailleurs, se souvenait plus du prénom tant l'alcool avait été important la veille - alors qu'elle entrait dans sa salle de bain ayant l'intention de prendre une douche et de prendre un aspirine. ANGEL ▬ Peut-être . Ce n'était pas un oui, pas un non. Juste un peut-être qui pouvait faire experer au jeune homme que oui, il y aura une deuxième nuit. Mais en connaissait A, elle ne reverrait plus ce brun aux yeux marrons foncés. Fermant la porte de sa salle de bain après l'avoir entendu fermer sa porte le plus silencieusement possible même si tout le monde était au courant, qu'elle emmena quelque fois ses amants chez elle, elle partit sous sa douche froide, de préférence.
Douche qu'elle allait reprendre une heure après, voulant briser le temps. Sortant de la douche où l'eau degoulina de son corps nue, elle partit prendre ne serviette alors que le mal de crane se faisait toujours sentir. Elle dut qu'a ses reflexes habituelles, avant qu'elle ne vomisse dans la cuvette des WC n'ayant pas dériger un alcool. Elle se promit de ne jamais mélanger tequila, voldka et autre alcool à la fois, car ca lui donnait vraiment un mal de tête incroyable. Cinq minutes plus tard, on pouvait l'apercevoir devant sa glace, se brossant les dents ayant prit au passage un aspirine, qu'elle allait avaler pour élimité son mal de tête, quand elle aurait la force de descendre à la cuisine se chercher un verre. Et c'est en maudissant contre les alcools inconnus de son repertoire et alcool non succulant, qu'elle descendit les escaliers après avoir mit un peignore, même si elle savait qu'elle ne tomberait jamais sur l'un de ses collocataires à cette heure matinale. Ouvrant une porte d'un tiroir, ayant être entrée dans la cuisine, elle entreprit de prendre un verre, pour y jeter son cachet miracle ayant d'y verser de l'eau. Son regard chocolaté se plonga dans le contenu de son verre où l'aspirine s'evapora peu a peu. Si elle avait but son cafée matinale, elle n'aurait jamais pensé que ce qui se trouvait en face d'elle, se résumait parfaitement bien avec sa vie. Et c'est en maudissant contre ses idées pathétique du matin, qu'elle entreprit d'avaler cul sec son verre, tout en se dérigant vers le salon pour s'allonger dans un des canapés présent dans cette pièce, ayant bien l'intention de se reposer un peu avant le réveil de ses collocataires qui formaient un étrange mélange. Etrange mélange qui donna du mouvement à l'appartement 223 qu'elle possédait depuis qu'elle avait quitter le manoir familliale des Carlson, quelque années plus tôt, pour son plus grand bohneur et son plus grand malheur. Compliquée, elle était mais c'était bien connu, miss Carlson au prénom d'ange, était unique et elle changerais, pour personne et surtout pas pour amour, chose qu'elle haissait au même pied d'egalité avec la drogue, sujet tant tabou pour la reine des garces, qu'elle aimait et s'asummait parfaitement depuis le début du lycée.
14h30, sur un banc.
Alors que miss Carlson allait s'appreter a rétorquer que le bleu était mieux que le jaune fluo, à une des filles les plus superficielle de la ville, elle entendit la sonnerie de son téléphone sonner. Les discutions furent coupé, alors qu'elle plonga sa main dans son pantalon en cuir, ne se donnant même pas la peine pour voir qui l'appellait. Chose qu'elle regretta quand elle entendit une voix grave et bien connu par Angel : son père. Père qu'elle haissait, n'oublions pas et c'est avec un soupire de laissitude, qu'elle écouta ce qu'il avait a lui dire, decroissant ses fines jambes, étant assise dans une posture de reine sur un simple banc de l'université de Columbia, n'ayant pas cours à cette heure de la journée.
LORD CARLSON ▬ Angel ? C'est ton père. Au son de la voix de son géniteur, elle se crispa, geste qui n'échappa pas a ses amis présente autour d'elle. Leur lançant un regard désoler, elle se leva, se dérigant vers un endroit issolé de tous, prenant son temps pour prendre une voix neutre pour répondre à son paternel, qui venait de l'appeller sur son portable. ANGEL ▬ Qu'est ce que vous voulez ? Bon d'accord, elle avait oublier les signes de politesse mais comment être poli envers un homme qui lui avait " donner " la vie, qui l'avait laisser seule avec sa mère, et qu'elle détestait ? Impossible et cela, même la maitrise parfaite de miss Carlson, ne pouvait rien faire par cela. Son regard chocolaté se posa devant l'entrée de l'université qu'elle voyait de son emplacement alors que la voix de son père à l'oreille, lui répondit la faisait crisper encore plus, supportant mal d'entendre la voix grave et sérieuse de son géniteur, comme elle l'appellait depuis toujours. LORD CARLSON ▬ Je vous appelle pour vous dire, qu'il y a une réunion ce vendredi là. Se mordant la lèvre inferieur, ne voulant pas commetre l'interdi qu'était de l'insulter et lui dire d'allez se faire foutre avec cette réunion de famille, la voix de son interlocuteur se fit de nouveau entendre alors qu'elle levait les yeux au ciel, voulant prendre tout le courage necessaire pour parler d'un ton neutre avec Lord Carlson. Votre présence est obligatoire, jeune fille. Donc, j'espère que vous serez présente. J'ai des choses a vous dire. ANGEL ▬ Bien, j'y serait. Elle avait fait violence pour pas lui demander si il n'avait pas mit une autre femme enceinte où portant un regard vers l'université, sa voix se fit de nouveau entendre à l'adresse de son père, alors qu'elle coupa juste après leur communication qui avait prit que quelque minutes. C'était toujours comme cela, et personne ne changera cette état de fait. ▬ Je vous laisse. Les cours reprennent.
Fermant son téléphone, elle partit rejoindre ses amis alors qu'aucune sonnerie annoncant la reprise des cours ne se fit entendre. Oui, elle avait mentit et n'avait aucun problème de conscience face a cela. Souriant à ses amis proches et se reinstallant à sa place sur le banc, elle leur jeta un coup d'oeil leur faisant bien comprendre de rien lui demander sur qui l'avait appeller. Balancant sa tête de façon, à l'avoir dans le vide, ses yeux regardèrent le ciel ensoilleilée, de la journée, écoutant les diverses conversations autour d'elle. Vivement ce soir. Fut la dernière pensée d'Angel Carlson, alors qu'elle participait à la conversation de deux filles, sur quel couturier était le mieux, remettant à la même seconde, une de ses mèches aubruns derrière ses oreilles, le tout dans une grace et sensualité que beaucoup enviaient et jalousaient, ce qui fit toujours sourire interieurement miss Carlson qui ne faisait rien, pour empecher cela, ayant toujours fait ce geste là de cette façon. Et elle ne changerait jamais ses habitudes pour quelqu'un s'aimait bien trop, pour changer quoi que ce soit, dans son caractère de reine des garces.
0h20 , Champagne Club
L'ambiance était chaude ce soir là, au nouveau club branché de New York : le champagne club. Comme toute nouvelle boite de nuit, Angel Carlson s'y était rendu avec quelque amis, ayant bien l'intention d'etre les premiers a entrer dans cette boite. Ayant le passe VIP, ils étaient entrer les premiers, se fichant pas mal des cris de protestations de la longue foule qui se formait devant les portes du club. Puis chacun s'était eparpiller où à minuit vingt, on pouvait appercevoir la belle brune dans son ensemble de cuir, assise sur un tabouret devant le comptoir du bar, ayant dans une main une coupe pleine d'un champagne qu'elle ne connaissait pas. Champagne qui avait très bon gout, qui lui donna un arrière-gout sucré et fruité dans la bouche. Sortant de la comtemplation de la piste de danse, où elle voyait sa meilleure amie Lily danser avec un inconnu blond, elle tourna la tête de façon a voir le barman pour complimenter le champagne qu'il lui avait donner, quelque minutes plus tôt.
ANGEL ▬ Ce champagne est succulant. C'était un fait où elle permit de pensé, qu'elle reviendrait ici car elle n'avait jamais bu un si bon champagne depuis son adolescence. Tournant le breuvage dans sa coupe, elle entendit la voix du barman, lui dire que le champagne qu'elle avait prit - autrement dire, celui fruité par des fruits qu'elle ne s'en souvenait plus et ne voulait pas connaitre de nouveau - était l'un des champagne les plus alcoolisé de leur collections. Un simple coup d'oeil vers le barman lui fit apprendre qu'il ne mentait pas où avalant quelque gorgées de sa coupe, elle se permit de lui répondre après ce dernier lui avertissait du danger du dit breuvage français. BARMAN ▬ Faite gaffe a ne pas trop en boire miss. L'alcool monte vite au cerveau, surtout celui que vous avez prit. Le regard sérieux et quelque moquer à l'adresse d'Angel, lui fit comprendre que tout le monde tombait sur le piège de ce breuvage français. Breuvage qu'elle avala d'un cul sec, plus pour provoquer le barman qu'autre chose. Croissant les bras sur le comptoire du bar, laissant tout le loisir au serveur, de voir son deccolté plongant, elle lui répondit tout en jetant un coup d'oeil vers la scène, très remplite, du Champagne Club. ANGEL ▬ Je tien parfaitement bien le champagne, et cela depuis ma tendre enfance. . C'était vrai. En etant une fille de riche, elle devait toujours bien tenir le champagne, alcool que les riches buvaient beaucoup. Même si, elle n'avait que dix ans, sa mère lui en avait fait boire et avec le temps, elle tenait cet alcool mieux que quiconque. Lui adressant un sourire narquois, tout en faisant éclater une bulle de champagne qui venait sur ses vêtements, sa voix se refit entendre à l'adresse du barman, qui n'avait que de yeux pour la belle brunette qu'était miss Carlson ici présent. Puis-je en avoir un autre ? Le même de préference.
Certes, Angel n'avait pas l'intention de se saouler, ayant mieux a faire que cela, mais le champagne fruité était techniquement son préférer alcool. Alcool qui ne la rendit pas saoule, même quarentes minutes, alors qu'elle partait d'un pas décider à l'exterieur du Champagne Club, ayant bien l'intention de péché avec un de ses amis : Matthias Dawshood.
1h02 , #231
Angel était partit du Champagne Club ne supportant plus les regards insistant de sa meilleure amie. Certes, elle adorait mais elle ne pouvait pas comprendre, comment elle allait. La seule personne qui pouvait la reconforter dans ces moments là sans rien lui demander, était Matthias Dashwood, d'où la demande à son chauffeur personnel vers l'appartement de celui-ci. Fermant les yeux, et oubliant son entrevu avec son père, l'après-midi même, elle se fit happer de ses pensées par la voix de son chauffeur qui lui apprit qu'ils étaient arrivée. Etant trop plongé dans ses pensées, elle n'avait pas apperçut les rues de l'upper east side où seul la voix de l'autre présence pouvait la sortir de là. Lui souriant et lui disant de partir dormir, sa personne se fit voir sur le petit chemin fait de pierre, qui l'emmena devant la porte d'entrée de mister Dashwood. Sonnant et mettant ses bras croissé, commencant a avoir froid dans sa petite veste en cuir, elle entendit celui-ci lui ouvrit avec un sourire, vite attaquée par la voix d'A. Paroles répondu par le jeune homme quelque instant plus tôt. Si elle n'avait pas été trop occupé à chasser le froid de son être par la pensées, elle aurait remarquer qu'elle ressemblait vraiment un ange, sous le clair de lune. Mais elle s'en fichait comme de sa première chemise, ayant briser le contact visuel et silencieux des deux étudiants, pour lui répondre tout en s'appretant à entrer dans l'immense loft de celui-ci. La chose qu'elle aimait chez Matthias était son appartement, qui lui appartenait qu'a lui seul. Ca leur permettait de se voir sans que personne sache leur relation ambigue car pour tout le monde, ils étaient de simple amis qui se moquait ouvertement des autres quand l'occasion était présente. Et c'est avec un dernier sourire et une derrière parole à l'adresse de M, qu'elle entra dans l'appartement de ce dernier ayant l'idée en tête d'avoir du reconfort par son ami, car c'était bien le seul, qui le faisait sans poser de questions.
MATTHIAS ▬ Tu ne me déranges jamais voyons Angel Carlson. Répondit-il aux premiers mots de la jeune femme. Un simple sourire apparut sur les lèvres du jeune homme avant qu'il ne réponde aux dernières paroles de miss A, se decalant de façon à la laisser entrer, pour lui sussuré à l'oreille quand elle le frolait quelque peu. Je m’en voudrais que tu attrapes froid... ANGEL ▬ J'espère bien, sinon je t'aurais kidnapper de gré ou de force Matthias Dashwood. Répondit-elle avec un simple sourire sérieux. Si elle était capable de mettre ses menaces à exécusion ? On parlait de miss Carlson et tout le monde savait qu'elle détestait passer un deuxième. Alors oui, elle aurait été capable de faire cela et M le savait mieux que quiconque. Avançant, elle entra dans l'immense loft qu'occupait Matthias alors qu'elle lui répondit après qu'il eu fermer la porte. Un sourire amusé apparut sur ses lèvres quand elle rencontra le regard de son interlocuteur alors que sa voix cristalline, se fit de nouveau entende à son adresse. Tu t'en voudrais toute ta vie car ne n'est pas bon, de rendre malade une ange, telle que je suis. Ange. Voici un mot que peu de personne - voir aucune personne - pouvait qualifier miss Carlson car c'était bien connu, Angel Carlson n'avait rien avoir avec un ange, c'était tout le contraire. On la surnommait même la reine des glaces, haissant l'amour et n'ayant pas l'innoncence et la purete d'un ange. Innocence qu'elle avait perdu au creux des bras d'un démon d'ailleurs. Adressant un sourire aux jeune homme, Angel s'était hisser sur les pointes de ses pieds, pour venir poser un baiser sur les lèvres du jeune homme, lui faisait comprendre sa venue. A avait besoin de reconfort et Matthias était toujours là pour la reconforter, et inversement. Bien sur, aucun des deux ne demandaient le pourquoi de cette tristesse, peut etre en étant trop fier pour se confier. Ses lèvres rougatre fut vite happer par celle du jeune homme, dans un baiser passionné et tendre à la fois. Elle aimait les baisers de Matthias malgré que c'était mal, de coucher avec un ami qu'elle respectait. Et pourtant, c'était la base exacte de leur complicité, car aucun n'arretait leur petit jeu, aimait bien trop peché avec son ami, pour arreter cela. Leur baiser s'arreta, quand Angel lui murmura de l'aimer. Certes, ils s'aimaient qu'en amitié et pourtant, mentait à l'autre pour la reconforter. Elle aimait cette état de fait, malgré qu'elle ne devrait pas. Mais c'était bien connu Angel ne faisait jamais les choses comme tout le monde, étant bien trop unique et fiere pour cela. Elle se retrouva coller au corps du jeune homme, appreciant les courbes de ce dernier alors qu'il lui murmura à l'oreille d'une voix douce, ce qu'elle voulait entendre, après lui avoir poser un doux baiser sur sa lobe. Certes, Angel Carlson savait très bien, que Matthias l'aimait en simple amitié mais elle avait besoin de ses paroles sans savoir pourquoi. Personne n'avait apperçut Angel fragile dans sa longue vie, et pourtant miss A n'était qu'une petite fille fragile et brisée, dans un corps de vingt ans qui avait besoin de beaucoup reconfort. Et cela, Matthias le savait mieux que quiconque savant que la vie de reine qu'elle avait, n'était pas aussi parfaite qu'il en avait l'air. Il était même au courant des relations père/fille des Carlson et souvent A venait chez M, pour se faire reconforter quand il était question de son paternel. Certes, A haissait son père mais interieurement, la jeune feme avait toujours voulu le connaitre et voir un sourire fier sur son visage. Sourire fier qui n'apparaissait jamais quand A était dans son champs de vision car le seul sourire qu'il lui adressait, étant un sourire de dégout faisant bien remarquer qu'A était qu'une enfant de marriage arrangé. Chassant ses pensées les plus sombres, un soupire de plaisir sortit de la bouche de cette dernière, au contact des lèvres du jeune homme sur son cou. Si il y avait bien un endroit où elle était sensible, c'était le cou et Matthias le savait mieux que quiconque. Fermant les yeux pour apprecier le contact des lèvres contre sa nuque, et les caresses de son dos, elle se permit de gémir doucement ne répondant pas aux paroles du jeune homme à son adresse quelque minutes plus tôt. Un frisson d'exitation traversa sa colonne vertébrale où son corps se colla au corps chaud de M. Angel avait froid et quoi de mieux qu'un corps chaud comme celui de Matthias pour la rechauffer ? Passant ses bras autour du cou du jeune homme, elle posa ses fines lèvres sur celle de M, après avoir remonter son visage de son cou, par un simple contact de main sur le menton. L'embrassant d'un baiser brulant et tendrement, elle se perdit aux creux des bras de son ami, qui la reconfortait chaque fois que l'envie de se faire reconforter lui venait. Leur complicité était enorme et peu de personne savait comment ils avaient construite cela. Ils étaient toujours là pour l'autre, aussi protecteur que l'autre et quand l'envie d'oublier un moment sa vie non parfaite, ils se voyaient. Ils ne parlaient jamais de leur problèmes et pourtant interieurement, Angel aurait apprecier se confier à quelqu'un car la personne qui pouvait mieux la comprendre était mister Dashwood et personne d'autre. Reposant sa tête dans le cou du jeune homme, elle y diposa quelque baisers brulants, soupire d'aise a chaque contact du jeune homme sur son corps vetus et pourtant si froid. Sa voix se fit entendre aux creux des lèvres de Matthias alors qu'elle passait une de ses mains manicuré dans le cuir chevelu du jeune homme, qui la conduisit vers une chambre qu'elle connaissait par coeur, ayant été de nombreuses fois, tout en ne quittant pas ses baisers brulants sur son visage d'ange. Angel était un ange, mais un ange de la luxure à ce moment là car aucun ange, aurait fait ce qu'elle allait appreter à faire, autrement dire, se donner interieurement à un homme qu'elle respectait et aimait en toute amitié. ANGEL ▬ Tes mains sont si chaudes. Rechauffe moi. Oui, Angel avait froid, ayant passer plusieurs minutes dehors dans une tenue qui n'avait pas été fabriquer contre le froid. A se fichait pas mal de tomber malade où la seule pensée qu'une personne pouvait la reconforter, lui donna un brin d'exitation. Elle ne sut pas comment, elle arriva dans la chambre de Matthias était bien trop occupé, à l'embrasser et se faire embrasser. Mais, elle sentit le contact du matelat de l'immense lit de son futur amant, sous elle où avec un simple sourire narquois aux lèvres, se permit de donner un coup de rein, de façon a être a califouchon sur le jeune homme. Angel savait qu'au final, Matthias serait au dessus comme toute les fois il la possédait et interieurement, elle aimait cela. Ses lèvres se perdirent dans le cou offert du jeune homme, sentant le contact des mains masculine du jeune homme sur ses hanches de façon a ne pas la faire tomber. Alors qu'une de ses mains, passait sous le haut du jeune homme, sa voix se perdit au creux des lèvres du jeune homme, lui imposant au passage un mordage de lobe à l'oreille droite. Des paroles teinté de sensualité, de luxure, de mensonge. Péché était un grand mot et pourtant, aucun des deux ne disait non pour l'éviter. Fait moi, oublier mon prénom, où seul ton prénom, que j'aurais gémis, crier, aura l'importante dans ma vie, au moins cette nuit . Péchons ensemble et damnons nous avec sensualité. C'était vrai. Avec Matthias, elle oubliait son existance, qui elle était. Avec lui, elle ne pensait pas aux problèmes du lendemain, ou de sa vie, car seul Matthias et son corps lui était important. Même si, ils savaient que c'était éphémère, ils se donnaient a coeur joix, ne pensant pas au lendemain. Ca leur est déjà arrivé, de coucher ensemble jusqu'a l'aube, au point de rater les cours de l'université, était bien trop épuisé pour allez las-bas. Ces moments arrivaient quand Angel voyait quelque chose qu'elle ne voulait pas voir, ou bien la présence de son père devant elle, ou quand Matthias avait un réel problème. Finalement, la reine des glaces qu'était Angel, ressemblait au Roméo qu'était Matthias car aucun des deux, n'avaient eu la vie facile, malgré que tout le monde pensaient le contraire. Et c'est en arretant ses pensées, qu'elle reposa ses lèvres fruitées par l'avalation de champagne fruitée quelque minutes plus tôt, sur ceux de Matthias alors qu'elle commencait doucement mais véritablement, a débarraser sur haut du jeune homme plusque génant, appreciant le contact du corps, et des mains de son ami sur elle. Oui, finalement Matthias était le meilleur moyen pour la consoler, savant tout les deux, qu'ils faisaient cela par amitié et par attirance, attirant le danger sur leur deux personnes. Mais c'était bien connu, péché était un interdit, et tout interdits étaient exitant surtout si vous appeller Angel Carlson et Matthias Dashwood, amis depuis leur année lycéennes et appreciant le corps de l'autre malgré leur respect mutuel et unique.
et nous danserons ensemble, sur les flammes de l'enfer. »
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matthias dashwood
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Sujet: Re: - { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A Mar 3 Nov - 17:40 |
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Abandonnes toi à moi, fais moi confiance, je t'emmène au dessus du monde, dans un endroit où seul nos deux corps compteront, ou nous pourrons fusionnés dans le plus grand des plaisir qu'il soit donné à un homme de ressentir.
17h00
Matthias était là, allongé sur le long divan de son salon. En réalité, il s’ennuyait à mourir, mais il préférait se convaincre que c’était beaucoup mieux ainsi que de se rendre en cours et d’écouter, pendant de longues heures, les professeurs parlant de choses qui avait le don de le désintéresser totalement. Oui, cela faisait plusieurs trimestres que le jeune homme s’ennuyait à mourir en cours. Il n’aimait qu’une seule matière, le théâtre. Tout le reste n’était que stupidités comme il aimait à la clamer haut et fort, parfois même devant ses professeurs. Comme il pouvait le constater, des gens biens vivaient sans problème sans n’avoir jamais été à l’université, alors pourquoi s’entêtait on à vouloir lui faire croire que cela était indispensable pour sa vie, de connaître toutes ces choses sur les mathématiques, ou encore savoir parler couramment italien. Il n’avait même pas envie de voyager, d’aller en Italie, sa vie ici lui convenait suffisamment, et en Italie, il y avait trop de risque de rencontrer sa famille maternelle, celle qui n’avait pas encore finit de pleurer sa mère décédée. Parfois, Matthias aurait eut envie de pleurer aussi, mais il n’avait jamais pleuré jusqu’alors. Même pas aux obsèques. Comme s’il avait besoin de prouver au monde entier sa force, comme s’il se sentait obligé de ne pas montrer ses faiblesses. Aux yeux de tous, Matthias Dashwood alias Roméo, n’était qu’un jeune homme prétentieux et arrogant, qui ne s’est jamais soucié de son prochain, qui ne pense qu’à sa propre personne, et pour qui la vie semble être rose. Car personne ne se penche assez longtemps sur lui pour voir qu’il y a au fond de ses yeux, cette petite lueur de tristesse, que finalement, il n’est pas aussi sûr de lui qu’il n’en paraît, que finalement, sa mère lui manque atrocement, qu’il aurait aimé lui susurré combien il l’aimait à l’hôpital, avant son dernier souffle, mots qui n’étaient jamais sortis, par peur. Il aurait aussi aimés ne pas être rejeté par son père, ou par ses deux frères aînés. Il aurait aimé pouvoir être encore entouré, mais tout cela semblait s’être complètement évaporé, en même temps que sa mère. L’amour maternel qui fut pendant un temps un pilier dans sa vie n’existait plus. Et malgré les apparences, il ne s’en était jamais remis vraiment. Ni du décès de sa mère, ni du décès d’une jeune femme qui avait été sa petite amie au lycée. Une jeune femme aux grands yeux chocolat, qui savait si bien lui réchauffer le cœur. Après ces deux tragiques évènements, Matthias avait finit par conclure qu’une femme qui l’aimait, mourrait forcément. Et c’est ce qui l’avait tant poussé à renier toutes formes d’amour. Voilà pourquoi il préférait se contenter de s’amuser, et pour les plaisirs charnels, il ne devait en aucun cas être amoureux, c’était trop compliqué, c’était trop risqué pour lui d’aimer. Deux, cela avait amplement suffit jusque là. Et il ne voulait pas qu’une troisième complète le tableau. Alors ses sentiments, il les oubliait, définitivement. Un soupire s’échappa des lèvres de Matthias, dont le regard était plongé dans la télévision, l’immense écran plat faisait défilés des centaines d’image à la minute. Et malgré la position adéquate pour être imprégné du téléfilm, Matthias n’écoutait rien. Il aurait été incapable de dire de quoi ce film pouvait bien parler. Il s’en fichait de toute façon. C’était toujours la même chose à cette heure-ci. Des téléfilms créés spécialement pour les ménagères qui ne bougeaient pas de chez elle. Un brin d’amour, de la passion et du suspens, c’était tout. A tel point que l’amour était destructeur, on essayait de faire croire à des mères divorcés que l’amour était beau, était génial. De quoi s’énerver seul devant sa télévision. Finalement, le jeune brun se leva de l’immense canapé et se dirigea vers la cuisine. Son estomac criait famine depuis un petit moment, à cet âge là, il paraît que les hommes ont toujours faim, et même si tous ne vérifient pas cette hypothèse, Matthias si. Il poussa la porte de la cuisine et scruta la salle, si propre que cela en était devenu presque flippant. Qu’avait-il envie de manger ? En réalité, il n’en avait aucune véritable idée, mais manger l’occuperait, et il se dirigea alors vers le frigidaire. C’est là qu’il se rendit compte qu’une colocataire lui ferait un bien fou, une présence féminine, qui se chargerait de remplir le frigo, ou au moins de lui faire penser de le faire. Mais il n’en était rien. Le frigidaire semblait aussi désertique que dans les vieux films mettant en scène les déboires d’un célibataire. Il soupira une nouvelle fois et sortit l’unique bouteille de let qui se trouvait là. Il la posa sur le plan de travail et ouvrit un placard pour s’emparer de ses céréales préférées. Un bol, une cuillère, il versa les céréales dans le bol et les recouvra de lait. Le crépitement provoqué par cette rencontre le fit sourire. Sa mère insistait le matin pour un moment de silence afin que ses quatre fils puissent profiter de ce léger pétillement. Elle leur faisait croire que les céréales criaient leur plaisir de retrouver le lait. Idée stupide, mais marrante. Matthias porta une cuillère à sa bouche et dégusta son repas. Mais il n’eut pas vraiment le temps d’en profiter plus amplement car son téléphone portable venait de se faire entendre. La mélodie stupide de sa sonnerie l’obligea à décrocher, sans même prendre garde au nom sur l’afficheur. Une voix masculine, grave se fit entendre, une voix qu’il mit quelques secondes à reconnaître pour enfin regretter d’avoir répondu. Il s’agissait simplement de son frère, le plus grand, qui s’entêtait à l’appeler, au départ pour lui demander de ses nouvelles, puis souvent par la suite pour le disputer. Comme toujours. Matthias inspira profondément pour garder son calme et brisa le silence de quelques secondes qui venait de s’installer.
« Ca faisait longtemps, que me vaux ce coup de téléphone ? » Questionna t-il son frère. La dernière fois, celui-ci lui avait reproché de faire des études de théâtre. Dans sa famille, personne ne le soutenait si ce n’est son plus petit frère, qui lui avait une relation fusionnelle avec Matthias depuis toujours. Sa mère aussi le soutenait, dans le passé, quand elle vivait encore pour venir assister à ses représentations. Mais lorsque son père donnait son avis, celui-ci était tranché. ‘ C’est un métier pour les nuls, tu ne perceras pas, tu finiras SDF, encore faudrait il que tu es du talent, et ce n’est pas le cas !’ Voilà ce qu’il hurlait à chaque fois contre Matthias qui baissait les yeux dans ces instants là, retenant sa rage mais surtout ses larmes. Oui, son père lui avait si souvent fait du mal par ces mots. Il n’avait jamais pris le temps de venir assister à ses représentations, mais ne se privait pas pour détruire ses rêves, en quelques mots. Quel être humain pouvait agir ainsi ? Surtout que ses deux frères aînés, celui qui venait de l’appeler mais aussi son frère jumeau, avec qui l’entente n’était jamais passé, avait suivit l’exemple de leur père, et trouvait leur frère nul de faire cela. « Je prends juste des nouvelles de mon petit frère… » Répondit Lucas, le grand frère de Matthias. Sa voix semblait si ironique que Matthias dut reprendre son sang froid pour ne pas raccrocher au nez de ce dernier. Il le connaissait si bien depuis le temps. Lucas était le genre d’homme qui finirait mécanicien, qui ne pensait qu’aux filles et dont la morale n’était pas vraiment développer. Grand, costaud, au rire gras, tout l’inverse de son frère, c’était certain. Mais Matthias n’aurait pour rien au monde voulut lui ressembler, pas après tout ce qu’il avait fait. Lucas n’avait eut aucun scrupule à mettre une fille enceinte pour l’oublier, la rayer de sa mémoire à peine la nouvelle apprise. Il semblait inhumain, tout comme leur père. « Et bien je vais très bien, merci de t’en inquiéter, même si cela ne te ressemble pas. » Bien entendu, Matthias n’avait pas put retenir cette remarque. Mais son frère l’excédait, même sans le voir. Il prit une cuillère de ses céréales, et tendit l’oreille. La réplique de son frère serait sûrement le début d’une nouvelle dispute. La énième depuis la mort de leur mère. Parfois, Matthias aurait préféré qu’ils ne l’oublient, en même temps que leur mère. Ou pire, mourir avec elle. Mais cela ne s’était pas produit. « Tu as raison, je me fiche complètement de si tu vas bien ou non. Seulement, voilà, je suis obligé de t’appeler, tu connais papa, il n’aurait pas put le faire lui-même. Mais il semble que ce soit l’anniversaire du seul frère qui t’admire encore, et papa pense que ce serait bien que tu sois là… Personnellement, moi je préfèrerais que non, mais ce n’est pas mon anniversaire, donc j’obéis, simplement… » Voilà, c’était le vrai Lucas au bout du combiné. Matthias inspira. Passer du temps avec eux semblait être la pire idée qu’il existe. En effet, il ne suffirait que de quelques secondes dans le même environnement pour que la fête ne tourne au règlement de comptes et aux coups. Ce n’était pas une excellente idée, c’était certain. Mais ne pas fêter l’anniversaire de son petit frère lui brisait le cœur. Peut être qu’il pourrait l’amener une journée dans sa ville et profiter avec lui de sa journée d’anniversaire, sans les trois autres êtres stupides qui constituait sa famille. Oui, cette idée lui parut la bonne. D’ailleurs, il décida de refuser l’invitation de Lucas. « Ne t’en fais pas, je ne serais pas là pour gâcher ta journée. J’emmènerai mon petit frère pour une virée à New York. Sans vous trois. Comme ça, tout le monde sera heureux, vous de ne pas m’avoir, moi de ne pas vous voir, et sûrement même Benjamin d’être débarrassé de vous toute une journée. » C’était sûrement vrai en plus, même pour la seconde partie. Si Benjamin n’était pas si jeune, Matthias aurait insisté pour qu’il le suive dans sa nouvelle vie, mais il n’avait put. Les années qui les séparé étaient trop nombreuses. Et Matthias n’aurait peut être même pas sut prendre soin de son frère, chose qui était la plus difficile à accepter d’ailleurs. Il fixa l’horloge et sourit, la conversation allait finir et il pourrait retourner vaquer à ses occupations. « Ne crois pas que Benjamin t’aime plus que nous ! Je te rappelle que tu l’as abandonné pour faire tes stupides études, tu l’as laissé derrière toi, tu ne prends même plus le temps de jouer au basket-ball avec lui. Tu l’as abandonné, comme maman ! » S’empressa de répondre la voix dure et froide de son frère. Ces paroles furent celles de trop. Matthias ne pouvait pas en entendre plus. A cet instant, ses yeux s’embuaient. Comment pouvait-il dire une chose pareille ? Comment pouvait-il être si odieux. Il n’avait pas voulut abandonner son frère, jamais, et s’en était de même pour leur mère, qui était tragiquement décédée. Sans cœur, c’était tout ce qui lui venait à l’esprit en pensant à Lucas. « Bonne journée Lucas. » Trancha froidement Matthias en raccrochant, encore sous le choc des paroles saignantes de son frère. Leur haine était grande, mais Matthias avait toujours eut l’espoir qu’un jour les choses s’arrangent, qu’un jour son frère l’aimerait. Il ne demandait que cela, être aimé par sa famille, était ce trop dur ? Apparemment…
22h00
Sa manette à la main, Matthias tentait de battre son propre record aux jeux vidéo. Une activité presque typiquement masculine. Au moins lorsqu’il jouait à cela, il pouvait oublier ses soucis sans utiliser l’alcool ou même la drogue, chose qu’il n’aimait pas faire mais à laquelle il avait parfois recours quand tout semblait trop compliqué et que son réconfort, à savoir la splendide brunette, Angel Carlson n’était définitivement pas libre. Il rejetait la haine qu’il pouvait avoir contre le monde sur les personnages qu’il devait tuer pour accéder au niveau suivant. Relaxant, distrayant, voilà ce dont il avait besoin. Et cela semblait être une excellente idée pour ne pas s’énerver seul dans son coin. Se vider l’esprit, c’est tout ce dont il avait besoin, et lorsqu’il avait appelé à l’appartement d’Angel et que personne n’avait daigné décrocher, il avait compris que ce ne serait pas elle, cette fois ci qui essuierait ses peurs, sa tristesse, et sa colère. Pourtant, cela aurait sûrement été la meilleure des solutions, celle qui jusqu’alors avait toujours parfaitement marché. Son téléphone sonna pour la seconde fois de la journée et il se précipita dessus, comme s’il y avait une chance qu’Angel ne le rappelle. Elle n’était pas de ce genre là, plutôt à se faire désirer, il le savait et il appréciait ce côté-là chez elle dans le fond, mais il aurait aimé pouvoir sentir sa présence, son contact. Il décrocha et ce fut une voix féminine qui se fit entendre, une voix qu’il appréciait, mais pas à cet instant là. Il s’agissait d’une jeune femme, qu’il appréciait certes énormément mais avec qui sa relation avait toujours été mise sous silence. Shaneen, une jeune femme qui n’appartenait malheureusement pas à son monde, mais qui l’avait démasqué, qui le connaissait si bien, qui lisait en lui. Comment aurait il put laisser passer une jeune femme si brillante, qui en plus de cela savait qu’il était réellement, à savoir, le bon élève au cœur pas si froid et glacial que cela, mais plutôt brisé par un manque affectif non comblé. Ils avaient longuement discuté, mais dès le lendemain, il l’avait ignoré, sans raison réelle. Enfin si, elle n’était pas riche, elle ne portait pas les vêtements adéquats. Et surtout, il avait peur du regard des autres. Chose stupide, certes. Mais bel et bien réelle. Sa voix douce résonna comme un bruit strident à son oreille. Il savait ce qu’elle voulait. Savoir pourquoi il n’était pas venu aujourd’hui, en plus ils s’étaient donné rendez-vous derrière le gymnase. Mais que pouvait-il lui répondre ? Qu’il avait trop but, qu’il avait refusé les avances d’une grande blonde vraiment sexy parce qu’il était hanté par encore une autre jeune femme ? Qu’il ne s’était pas réveillé, puis que son ami était venu sonner à sa porte pour se disputer avec, que son frère l’avait énervé et que là il n’était pas du tout apte à lui parler ? C’est ce qu’il aurait dut dire, mais plus diplomate que cela, il tenta de se radoucir, surtout avec elle, elle ne lui avait rien fait de mal, au contraire. C’était la seule à s’inquiéter de son absence apparemment.
« Excuses moi j’étais malade aujourd’hui, je suis resté chez moi. » Dit-il pour premières paroles. En s’excusant dès le début, cela faciliterait sûrement ses relations avec la jolie brunette aux cheveux ondulés. Il ne voulait pas la blesser, ou lui crier après, non, il l’aimait bien après tout, et il ne voulait pas foutre toutes ses relations en l’air dans la même journée, c’était trop. Mais la voix de la jeune femme se fit assez froide. « Malade ou en charmante compagnie ? » Rétorqua telle. Mais qu’avaient-ils tous à la fin ? Fallait il vraiment qu’il lui gâche la journée jusqu’au bout ? Bon sang ! Il crut sentir son sang bouillir. Pourtant, il s’était promis de ne pas s’énerver une nouvelle fois aujourd’hui ! Et puis pourquoi se permettait elle ce genre de remarque ? Il ne lui demandait pas lui, où elle traînait, il ne lui faisait pas de scène, ou quoi que ce soit. Surtout qu’il avait repoussé la jolie blonde la veille. D’ailleurs, un regret amer vint prendre place dans son esprit à cette réflexion. Au moins elle aurait eut raison de dire de telles aberrations. « Arrêtes un peu ! J’ai trop but hier et je me suis pas réveillé, ça te va ? » Voilà, sa voix s’emportait. Il ne se serait pas énervé en temps habituel, mais là, sa journée semblait être la pire passée depuis bien longtemps. Tout allait mal, rien ne s’arrangeait au fil de la journée, il n’en pouvait tout simplement plus. Il aurait voulut pouvoir se contenir, mais ses accusations ne le faisait pas rire du tout. Ses paroles parurent toucher la jeune femme qui de l’autre côté du combiné laissa un silence s’installait. Matthias Dashwood, assis devant l’écran plat sur lequel son jeu était sur pause, commença à se demander si ses relations avec les gens se passeraient un jour bien ? Il se permettait d’en douter, à cet instant précis. Comme s’il était destiné à se prendre la tête avec les gens qu’il aurait aimé pouvoir garder à ses côtés. Il soupira, et s’apprêta à continuer de parler, mais elle le coupa. « Je vais te laisser, bonne soirée. » Oui, Shaneen était forte, c’était le meilleur moyen de réagir face à lui, crier, hurler, n’aurait servit à rien si ce n’est à froisser un peu plus leur relation, mais là, elle avait réagir comme il le fallait, pour éviter aux choses de s’envenimer. Il baissa les yeux, et raccrocha lorsqu’une tonalité vint remplacer le doux son de la respiration de la jeune femme. Pourquoi était-il incapable bon sang d’être de bonne humeur par moment ? Il regrettait déjà. Il s’en voulait. Mais à présent, il était seul dans son silence. Matthias décida de couper son téléphone, c’était mieux. Ainsi ses disputes ne se multiplieraient pas encore pendant la journée.
Le réconfort, savoir que l’on peut compter sur quelqu’un, qu’une personne saura toujours être présente pour nous. C’est une chance inouïe. Cette chance Matthias l’avait, en la personne d’Angel Carlson. Il aimait penser qu’elle était son ange gardien, la personne qui veillait sur lui, une chose était certaine, elle savait toujours l’aider dans les moments difficiles, et sans rien dire. Elle s’approchait de ses lèvres, furtivement, elle y déposait un baiser et ils s’offraient l’un à l’autre, sans promesses d’infini, sans attaches amoureuses. Juste du réconfort, un plaisir charnel capable de le laisser s’évader pour de bons de sa vie monotone. Il voyait en elle, un moyen de ne plus souffrir, elle savait si bien s’y prendre. Ces deux là s’étaient rencontrés au lycée. Ils avaient passés des moments formidables ensemble, à critiquer les gens, ce qu’ils continuaient à faire, ils aimaient se montrer supérieur, ensemble, alors qu’en réalité, ils ne l’étaient pas. Ils étaient deux enfants meurtris par leur passé, qui s’amusait ensemble. C’était ainsi. Elle était un pilier dans sa vie, bien qu’entre eux il n’ait jamais été question de passion, d’amour ou de confidences. Une complicité, du respect, et des moments privilégiés, c’est ce qui faisait ce lien spécial entre eux, indéfinissable, incompréhensible pour tous les autres. Eux seuls savaient. Et c’était tout ce qui comptait.
01h11
Autant dire que sa visite inattendue était exactement ce qui lui fallait. Angel, sans même lui parler, sans même l’appeler savait trouver le bon moment pour montrer le bout de son nez, c’était appréciable pour le jeune homme. Comment résister à cette somptueuse tigresse, au petit visage d’ange et au caractère digne d’une vraie démone. Elle n’aimait pas passer au second plan, et elle n’avait jamais eut à vivre cela avec le jeune homme jusqu’à maintenant. D’ailleurs, elle lui fit comprendre par quelques mots qu’elle avait vraiment envie de le voir, le kidnapper, elle en aurait été capable. Mais cela était excitant, de savoir qu’elle était capable de tout, du meilleur comme du pire, et que finalement, elle décidait. Avec Angel, c’était ainsi, la demoiselle avait un fort caractère et les choses devaient se passer exactement comme elle le désirait. Heureusement, ils avaient toujours eut les mêmes attentes. Quelques petits baisers, une nuit torride, et pas de prise de tête. C’était cela entre eux, depuis longtemps, et il aimait réellement cela en réalité. Elle était douce, et réagissait comme une tigresse à la fois. Il aimait pouvoir sentir son odeur féminine, cette fois ci accompagnée d’une goute de champagne. Il s’empara de ses lèvres, et l’embrassa passionnément, il avait envie de pouvoir faire durer ce moment plus longtemps encore. Une vague de soulagement, de plénitude envahit son corps entier. Elle savait toujours le sauver, quand il le fallait. C’était une certitude. Un ange tel que je suis, ces mots le firent intérieurement sourire. Il aimait quand elle prenait cette petite voix. Comme si la femme séduisante qui était en face d’elle était un véritable ange. C’était complètement improbable. Pas elle, oh non ! C’était loin d’être un ange, avec lui. Ils s’amusaient à frôler l’interdit et ce depuis toujours.
« Un ange tel que toi… Un ange, ce mot a le don de me faire sourire, petite diablesse… » Murmura t-il alors que leurs lèvres se séparaient un instant avant de fusionner à nouveau. Le beau brun s’appliquait à jouer avec la langue douce au goût de champagne français de la splendide séductrice qui s’offrait à lui. Il la voulait contre lui, elle voulait qu’il l’aime, et il pouvait lui mentir, une nouvelle fois. Ce n’était pas vraiment un mensonge, dans le fond elle était consciente qu’il n’était pas amoureux d’elle. Une relation sérieuse entre ces deux là n’auraient de toute façon jamais été possible. Ils étaient trop eux pour cela, détestant le seul mot ‘amour’, ne voulant aucune attache, et surtout ne voulant pas souffrir une nouvelle fois. Oui, c’était beaucoup trop difficile de s’attacher à une autre personne qu’eux même, et d’éprouver des sentiments amoureux. C’était impossible. Juste impensable. Le jeune homme s’empara à nouveau de la jeune femme, la serrant contre son corps. Leur deux corps s’emboîtaient toujours parfaitement, c’était là un pur bonheur, une sensation de complémentarité physique agréable. Matthias voulait la sentir encore plus près de lui, aller jusqu’au bout. Le jeune homme déposa ses lèvres dans le cou de la belle, remontant ses mains dans son dos, puis vint les poser sur ses joues fraîches. Elle était glacée, contrairement à Matthias dont la peau brûlante pouvait la réchauffer. La chaleur de la pièce semblait s’accentuer de minutes en minutes. Le jeune homme l’emmenait avec lui, ne cessant ses baisers brûlants de passion à aucun moment. Il voulait l’emmener dans cette chambre où leurs ébats prenaient bien souvent vie. Ils se retrouvaient presque toujours dans la chambre du jeune homme, car l’appartement d’Angel, comme elle le disait, lui semblait toujours trop occupé. Alors ils se voyaient chez lui, seuls, et passaient des moments tendres et très érotiques surtout. Le matelas les tint finalement, les empêchant de toucher le sol. Ce lit douillet avait déjà tant servi à les accueillir, dans cette même position. A présent, le jeune homme savait pertinemment comment tout cela finirait, et c’était assez plaisant. La silhouette frêle, féminine, et particulièrement bien dessinée de la reine des glaces l’excitait toujours autant. Elle le fit basculer sur le côté et se mit sur lui, afin d’être maître du jeu, quelques secondes au moins. Dans quelques instants, Matthias reprendrait le dessus, mais sentir la jeune femme sur lui, la voir aussi déterminée l’excitait totalement. Il posa ses mains sur les hanches de la jolie brune, tandis qu’elle l’embrassait à pleine bouche, de façon sensuelle et excitante, il fallait l’avouer, elle était experte dans ce jeu là. Elle voulait qu’il la réchauffe, il en mourrait d’envie. Ses mains se dispersèrent sous le top de la jeune femme, et caressèrent sa peau froide. Ses mains brûlantes remontèrent sous le top de la belle, puis passèrent sur son ventre plat. Il redressa le buste pour l’embrasser.
« Je suis là, tu ne vas plus avoir froid. » Ajouta t-il à son geste plutôt révélateur. Bien entendu qu’il ne l’aurait laissé avoir froid pour rien au monde. Elle lui retira son tee-shirt tandis qu’il la regardait faire. Fasciné par ses courbes, fascinés par son petit sourire espiègle et ses grands yeux chocolat si expressifs. Une beauté renversante, qui pouvait sincèrement, sans aucun mal lui résister ? Sûrement personne. C’était presque certain. Etrangement, tous ses soucis s’étaient déjà évaporés, une seule pensée restée encrer dans son esprit. Celle de faire l’amour, là, maintenant, tout de suite, à cette jolie brune qu’il connaissait depuis si longtemps et avec qui il passait de si bon moment. Certes, ce n’était pas la première fois, pourtant c’est avec autant de bonheur qu’il redécouvrait la belle, centimètre par centimètre. Sa voix vint à nouveau à résonner, il la fixa longuement, elle avait en plus ce don, de dire les bons mots, au bon moment. Ces mots prononcés avec sensualité qui ne pouvait que lui donner envie de la prendre, là maintenant, de l’enlever à la réalité, de simplement l’emmener dans un petit coin de paradis où elle saurait apprécier amplement les choses toutes plus impressionnantes que les autres qu’il allait lui faire, pour au fur et à mesure, provoquer en elle, cette vague de plaisir impressionnante, cette vague de bien être dont elle avait tant besoin. Le jeune brun, torse nu, la repoussa délicatement sur le côté, afin de prendre sa place, celle du dessus. Elle était belle, parfaite, mais un peu trop vêtue à son goût. Il plongea ses grands yeux verdâtres dans ceux de la belle et la dévisagea un instant, un sourire heureux et tendre sur le bout des lèvres. Il déposa un baiser au coin des lèvres pulpeuses de la belle, et se positionna au dessus d’elle, sans lui faire mal, délicatement. Un espace les séparait encore. Il détacha ses lèvres de la jeune femme, pour lui dire quelques mots doux au creux de l’oreille.
« Tu te souviendras de cette nuit toute ta vie Angel Carlson, elle sera gravée dans ta mémoire et tu chercheras sans cesse à éprouver de nouveau ces sensations qui t’attendent… Je vais te déshabiller avec douceur et sensualité, et je vais te faire éprouver ce plaisir que tu n’atteindras avec aucun autre… Tu seras mienne, pour cette nuit au moins… » Ces mots étaient ceux d’un jeune homme dont l’excitation ne faisait qu’accroitre. Les mains chaudes du jeune homme firent de nouveau en contact avec la peau laiteuse de la belle. Il passa ses mains sous son haut, et l’aida à le retirer. Une poitrine magnifique, dans un petit bout de lingerie splendide apparut alors devant lui. Matthias aimait les belles choses, et faire l’amour, sauvagement, tirer son coup simplement comme disent certains n’étaient pas une chose qu’il aimait. Non, il avait ce besoin d’être excité, il avait ce besoin que sa partenaire essaie de le faire devenir fou. Angel savait si prendre. La lingerie qu’avait choisit la jeune femme était d’une beauté parfaite. C’était sexy sans être pour autant provocant, c’était tout elle, toujours aussi parfaite, jusqu’à ses choix de sous vêtements. Il posa ses lèvres au creux des seins de la jeune femme et les embrassa à travers le léger bout de tissus.
« Tu es splendide, parfaite, orgasmique. » Dit-il entre deux baisers sur la poitrine de la belle. Il souhaitait tout lui faire oublier, comme elle le lui avait demandé. Il voulait être sa seule préoccupation, au moins pour la longue nuit qui les attendait. Y parviendrait-il ? Seul le temps le dirait, mais il l’espérait. Ses mains vint caresser ses seins de taille parfaite, d’abord du bout des doigts puis avec des caresses plus insistantes, tandis qu’il retrouvait les lèvres pulpeuses au goût alcoolisé de la jeune femme qu’il voulait aimer, pour la nuit entière. Son souffle devenait plus rapide, son cœur battait légèrement plus fort, mais ce n’était pas près de s’arrêter… Doucement, ses mains glissèrent dans le dos de la jeune femme pour en dégrafer son soutien gorge, qu’il prit le temps de retirer avec douceur. A présent, ce n’était pas simplement son imagination qui travailler pour savoir ce qui se cachait derrière le tissus, la poitrine de la jolie brune était mise à nue, et c’était bien plus que simplement excitant pour le jeune homme. Il déposa ses lèvres brûlantes sur ces seins si bien dessinés et caressait son ventre avec douceur. Ses lèvres se frayaient un chemin sur le corps de la belle, descendant déposer de doux baisers sucrés sur son petit ventre plat. Elle semblait n’être qu’à lui, c’était plaisant, de passer un moment privilégié et génial auprès de la parfaite jeune femme. Un ange de la luxure, c’était tout à fait cela, Angel Carlson représentait la tentation à l’état pur. Et une devise était celle de Matthias Dashwood, céder à la tentation, en toutes circonstances. Une fois de plus, c’est ce qu’il entreprenait de faire. Il remonta sa bouche sur le corps de la belle pour venir à nouveau l’embrasser à pleine bouche. Son corps bouillonnait de désir.
« J’ai tellement envie de toi. » Laissa t-il échapper.
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Angel V. Carlson
DARK QUEEN ' ▬ « Come play with me. I'm your sid »
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♦ love. : { Aimer est une faiblesse. La Haine est une force. Alors je préfere te hair, que t'aimer C, malgré que mon coeur te hurle tout le contraire que je peux te dire.
♦ district. : { #223 Upper East Side, in NY
People's paradise « my affinities »: « info ou intox ? »: « Quelque chose a dire ? »: | Ne vous fier pas à mon prénom ..
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Sujet: Re: - { Soirée fruitée & interdite || PV.M/A Mar 3 Nov - 21:47 |
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« On dit que les gens qui ont la peau froide ne peuvent survivre que dans la chaleur d'un autre corps. Je ne sais pas trop si c'est vrai... Mais je me brule à son contact...»
___________________ La vie. Deux mots et pourtant tant d'émotions. Voila, une chose que la jeune femme connaissait mieux que quiconque malgré que beaucoup de monde, balancait que la vie de miss Carlson était parfaite. Une vie était constituée normalement, au départ, de deux parents qui s'aimaient et montrant au monde par un enfant, étant dans n'importe quel millieu sociale qu'ils puissent y avoir. Puis, quand ils eurent cet enfant, il le cherira et partageras ses fêtes avec ce dernier, lui montrant qu'il était la septième merveille du monde. Puis, a l'age où l'enfant aura trouver un travail, les parents le laissera partir faire sa vie tout en prenant regulierement des nouvelles à leur enfant qui grandira bien vite. Jusqu'a là tout était bon mais regardons maintenant, la vie d'Angel Victorienne Carlson, surnommé reine des glaces pour plusieurs raisons. Elle était le parfait mélange d'un marriage arrangée. Ses parents ne s'aimaient pas même si A voyait que sa mère aimait réellement son père mais l'avait chasser toute chance d'etre avec lui. Angel était une fille de riche, possedant tout ce qu'elle pouvait avoir, mais quand ce qu'elle désirait était de voir son père, c'était assez difficile a l'obtenir voir impossible à l'avoir. Son père très absent dans sa vie, elle eu que l'amour maternelle de sa mère qu'elle aimait beaucoup. Puis les années ont succèder et le père fut l'ennemi n°1 de la charmante brunette qu'était Angel, chose réciproque d'ailleurs. Son père ne l'aimait pas, et tout le montrait en intimité. Une haine partager mais qui faisait mal malgré tout. Dans son enfance, Angel n'a jamais connu une fête heureuse avec ses deux parents où elle passait pratiquement ses fêtes avec de la famille qui la complimentais et faisait tout pour avoir son attention, alors que le seul attention qu'elle voulait avoir était celui de son père, absent bien sur. Puis vient l'age des diplomes. Elle eut le bac avec succès avec une très bonne notation et le seul cadeau qu'elle eut, fut une demie-soeur. Pas vraiment la choix quand A s'est apercut que son père aimait sa demie soeur donc c'était naturel qu'Angel détesta Olympia Carlson-Blakes et inversement. Voila sa vie, rythmé par ses études de droit - chose que son père ne comprenait pas d'ailleurs -, ses proches et ses aventures d'un soir, lui faisant une réputation de garce en très peu de temps, d'où son surnom de reine de glace. Finalement, miss Carlson n'avait pas eu la vie parfaite que toute princesse aimerait avoir, surtout que le dit prince charmant lui avait voler le coeur pour le piatiné en seulement un haussement de sourcil. Oui, finalement Angel n'avait rien d'une reine qui eu la vite parfaite, mais son attitude devant le monde entier, leur faisa penser tout le contraire car fiere comme elle était, ne voulant pas leur montrer qu'A était avant toute une chose, une petite fille sensible au coeur brisé, dans un corps d'étudiant, couchant a droite et a gauche, juste pour se sentir importante et avoir de la chaleur humaine, elle au corps si froid comme de la glace. Chacun avait une vie parfaite ou non, mais interieurement la jeune brunette au doux nom d'Angel Carlson, aurait tout donner pour en avoir une autre, où ses parents l'aimaient vraiment et non qu'un seul, sans que cela puisse arrivée un jour.
16h30
Une sonnerie de téléphone sortit de la comtemplation des nuages, la charmante Angel Carlson qui avait sauter un cours de français n'étant pas d'humeur, a parler de Balzac ou encore de Zola, chose que donna beaucoup sa professeur d'université. Alors elle avait préferer allez dans le parc de l'université, pour s'y allonger sans pensez qu'elle y resterait lomgtemps. Son regard avait finalement fixer les nuages, se perdant dans ses propres pensées. Si une personne l'avait vu sans connaitre sa réputation, il ou elle aurait dit qu'Angel ressemblait à un ange déchu ou encore une petite fille dans le corps d'une femme. Mais, personne n'était présent et c'était mieux ainsi, appreciant le contact du soleil sur sa peau laiteuse, et le silence agréable qu'apportait le petit vent frais de la journée. Mais tout cela, changa par un simple appareil qu'on nommait téléphone portable et que le dit téléphone portable était en mode " vous avez un appel ". Maudissant la personne qui voulait lui parler maintenant, elle ne jeta pas un coup d'oeil sur son portable avant qu'elle le mette vers ses oreilles pour entendre une voix bien connu, qui voulait surement prendre de ses nouvelles ou non.
ANGEL ▬ Que me vaux cet appelle, maman ? Prononca-t-elle après les paroles de politesse échangée entre la mère et sa fille. Les deux Carlson s'aimaient beaucoup malgré que Lady Carlson ne faisait rien pour le montrer aux yeux du monde. Alors quand elle entendit la voix cristalline de sa mère à son adresse, elle s'était dit que cette dernière devait véritablement, lui annoncant quelque chose, pour qu'elle téléphone à une heure pareille. Et, elle ne se trompa pas. LADY CARLSON ▬ Pour te rappeller de ta visite chez les Clarks, samedi prochain. J'espère que tu n'as pas oubliée car cette entrevu est importante pour ma compagnie. Attendit-elle alors que son regard se braga sur un nuage blanc. Les nuages étaient libre alors qu'elle était prissonière de ses propres chaines. Soupirant interieurement, elle entendit sa voix lui répondre alors qu'elle porta une de ses mains sur sa chevelure aubrun pour chasser quelque peu le soleil qui lui rentrait sur le visage. ANGEL ▬ Tu sais très bien, que je n'ai pas oubliée cette visite maman. Qu'elle est la vrai raison de ton appel ? Père t'a dit de me faire passer le passage comme quoi, ma présence est obligatoire à la réunion de famille qu'il projete de faire vendredi ? Si c'est ca, sache que je suis déjà au courant même si j'aurais préferer qu'il ne m'appelle pas pour ça. Sa voix se fit entendre à l'adresse de sa mère, alors que son regard resta fasciné devant le ciel ensolleilé qui lui fit face. Le silence fut vite romput par la voix claire de sa mère alors qu'un sourire naquit sur son visage d'ange, à l'entente de sa réponse à son adresse. ▬ Tu sais très bien comme est ton père Angel et je ne suis pas là pour t'ordonner d'y allez ou pas. Je t'avertie juste que j'y serais même si j'avais d'autre projet pour ce vendredi. C'était vrai. Sa mère ne lui ordonnait jamais d'y allez ou non mais la simple pensée de voir sa mère seule avec l'autre famille comme elle appellait, lui donna une peur bleue. Elle préferait perdre son temps dans les réunions familliale que d'allez faire un tour ailleurs d'où la réponse claire et net de la fille quelque secondes plus tard, se positionnant de façon a avoir un coude sur l'herbe fraiche du parc de l'université. ANGEL ▬ Alors j'y serais aussi. C'est sur cette promesse là, car une Carlson tenait toujours ses promesses, qu'elle continua sa conversation avec sa mère quelque instants avant de fermer son téléphoner pour se lever tranquillement, enlevant les herbes qui étaient sur sa tenue, avant de partir vers son prochain cour : celui de droi
0h22
Avez-vous déjà penser que l'endroit où vous étiez, n'était pas vraiment l'endroit où vous voulez être ? Que l'endroit où vous devez être était a des kilomètres d'ici malgré vos caractère profiteuse de la vie ? Voila exactement les questions que trotaient dans la tête de miss Angel Carlson, assise sur un fauteuil avec une coupe de champagne fruitée à la main, coupe presque vide d'ailleurs, alors que son regard chocolat regardaient les gens danser sous les bulles de champagnes qui y venaient disposer sur leur corps. Même si A était quelqu'un qui aimait passer ses soirées en boite, ce soir là, l'humeur n'était pas. Elle avait pourtant été joyeuse d'apprendre la sortie au Champagne Club pour la soirée, mais divers evenements avaient chasser ce gout, pour celui du desespoir, même si elle ne le montrait pas. Angel était présente dans la boite depuis plusieurs heures, dansant sur quelque chansons pop, regardant ses amis danser mais surtout en buvant beaucoup de coupe de champagne qui ne lui fera jamais rien. C'est surement au regard de sa meilleure amie Lily, qui lui dit qu'elle devait arreter de boire ou mieux partir car sa tête lui disait, qu'elle s'ennuyait vraiment. Acceptant une nouvelle coupe de champagne fruitée, portant directement à son emplacement, elle enfilla son autre coupe de champagne cul sec avant de laisser la coupe vide de breuvage sur la table bien remplit de coupe. Elle était toute seule et pourtant, elle aurait préferer qu'une présence qu'elle connaissait, y soit aussi. Alors, elle se promit de rester quelque minutes, maximun une heure pour faire plaisir à ses amis, avant qu'elle parte ailleurs, car sa place n'était pas ici. Non, sa place était au creux des bras de Matthias Dashwood, qui la consolerais mieux que personne car son humeau était noire pour la soirée. Fier de sa reflexion, elle porta son verre à la bouche, ne quittant pas la piste de danse des yeux, laissant les minutes passées et attendant son heure pour s'en allez.
01h13
Le reconfort. Voici une chose qu'Angel Carlson aimait au plus haut point car c'était la seule chose, qui pouvait lui montrer qu'elle donna de l'importance a quelqu'un. Alors quand son ami Matthias Daswhood était devenu un ami assez particulier, la jeune femme avait aimer ses moments, au point d'en demander quand le besoin y était. Rien n'était parfait dans la vie d'une héritière d'une grande fortune surtout si vous appellez Angel Carlson, et que votre père mene une double vie depuis sa mise au monde - voir avant - et qu'il est vous hait jusque parce que vous êtes le fruit d'un marriage arrangé. Elle le haissait pour cela, mais interieurement, A en souffrait beaucoup. Une souffrance que personne ne connaissait, ayant un trop fort caractère pour penser qu'A était quelqu'un de sensible, ayant un coeur comme tout le monde. Mais il y avais toujours des exeptions, et Matthias en était une. Ils se connaissaient depuis le lycée, se moquant ouvertement des autres où une grande complicité était née entre les deux amis. Ils n'avaient jamais penser une seule seconde, a sortir avec l'autre était bien trop fier pour avoir une relation sérieuse avec leur ami, surtout que chaque relation sérieuse se finissait par un echec donc une souffrance, et cela aucun des deux, ne voulait le donner à l'autre. C'était peut etre pour cette raison, qu'ils avaient une relation ambigue. Ami aux yeux du monde, amant quand le besoin du reconfort se faisait présent la nuit. Une relation amélioré que personne n'était au courant, les voyant comme d'excellent amis et non des amants. Mais c'était une véritée cachée, un mensonge que M & A adorait le plus au point. Alors ce n'était sans réelle surprise, qu'elle se pointa chez Matthias après avoir passer un moment au Champagne Club, ayant besoin de reconfort. Sa journée avait été affreuse et le seul moment où elle avait entendu dans sa journée, était le soir. Maintenant. Même si la peur que son ami soit dérangé était face, elle lui avait fait comprendre que quand elle voulait quelque chose maintenant, elle l'aurait. Comme du meilleur et pour le pire, Angel savait ce qu'elle voulait et Matthias avait les même attentes. Donc ce n'était sans réelle surprise, qu'après que la porte de l'appartement du jeune homme soit fermer, et qu'elle posa ses lèvres fruitées par le champagne aux gout de fruits, sur celle sucrées et douces du jeune homm, il ne la repoussa pas. Au contraire, il y prolonga, la serrant dans ses bras montrant sa chaleur humaine qu'il dégagait. Matthias avait toujours une temperature chaude même si il faisait froid le soir. Alors qu'Angel s'était tout le contraire. Coeur de pierre, et corps froid, sa peau était toujours glacée même si elle faisait tout, pour les avoir brulante. Finalement son surnom de la reine des glaces allait a ravir, puisqu'elle était glacé dans les bras chaud du jeune homme, qui la serait contre elle, tout en prolongant leur baiser passionné et tendre à la fois. Un baiser vite coupée par le manque d'air, alors que la voix du jeune homme se fit entendre à son adresse, voix qui fut vite expirer par la bouche rougatre d'A qui l'avait reembrassant, goutant au gout sucré de la langue du jeune homme. Un ballet que seule deux amants pouvaient comprendre, s'appliquait avec tache dans les bouches des deux concernés, jouant a dominer l'autre, au jeu du chat et de la souris, alors que le silence arriva dans l'immense loft que partagait Matthias, à lui tout seul. Un loft qu'elle connaissait par coeur, ayant passer beaucoup de temps dans ses lieux, surtout dans une partie de l'appartement : la chambre du proprietaire.
MATTHIAS ▬ Un ange tel que toi… Un ange, ce mot a le don de me faire sourire, petite diablesse…. Murmura t-il alors que leurs lèvres se séparaient un instant avant de fusionner à nouveau. C'était toujours ainsi. Quand l'un venait vers l'autre, l'autre comprennait facilement ce que l'autre voulait. Une relation que beaucoup aurait qualifier de " malsain " mais eux sans fichait plainement. Angel n'était pas un ange, mais elle s'amusait toujours à se faire passer pour l'une d'entre elle, malgré que rien dans son caractère pouvait douté de sa qualification. Angel a toujours été identifier comme une diablesse même si autrefois, elle était une vrai ange. Ange déchu, au coeur brisé, finissant sa vie sur les flammes de l'enfer. Elle aimait sa nouvelle personnalité, se fichant pas mal des réactions des autres. On l'aimait. On la détestait mais tant tout les ces, elle s'assumait parfaitement et c'était peut etre pour cela, que sa relation avec Matthias était si facile, si simple. A ne se rappellait plus du jour où cette relation ambigue avait commencer, mais elle s'en fichait pas mal, puisqu'elle était toujours d'actualité. L'autre était le pillier de leur vie, pour rester fort devant un monde qui les projeta au devant des scènes, qualifiant de vie de parfaite alors que tout était que mensonge. Mais même par cela, elle ne changerais pour rien au monde sa relation avec son ami, même si elle savait que dans un futur, leur relation ambigue aura une fin, partant dans des avenirs différents et non connus à leur jour. Alors Angel, ne pensa plus, profitant de la chaleur brulante du jeune homme, la reconfortant comme lui seul savait si bien le faire. Passer du froid au chaud, pouvait causer des maladies mais c'était la dernière chose qu'elle penserait, là dans les bras de Matthias, alors que ses lèvres étaient en mouvement sur celle rougatre du jeune homme, se fichant pas mal de ce qu'ils pouvaient leur arrivé demain, appreçiant l'instant présent. Ses bras enroulé autour du cou du jeune homme, la jeune femme se serrait contre lui, appreçiant la chaleur humaine qu'il lui donnait sans rien lui demander. Ses lèvres continuèrent a chercher ceux du jeune homme, alors que leur langues dansaient avec sensualité, dans un ballet que eux seuls pouvaient accomplir. Separant de quelque centimètres du jeune homme, elle se permit de lui souffler d'une voix douce et posée alors que tout son être n'était pas si calme voulant a tout prix une chose : appartenir à Matthias, cette nuit au moins. ANGEL ▬ Je peux être un ange, rien que pour toi .. Roméo. Oui, elle pouvait l'etre mais ses instants de garce reprenait toujours le dessus. Ce n'était pas une chose simple, de changement de caractère de seconde en seconde et c'était bien connu que miss Carlson ne changait ses habitudes pour rien au monde.
Ses lèvres furent a nouveau happer par celles du jeune homme, alors qu'elle sentit sa veste en cuir tombé alors qu'elle marchait vers l'endroit tant bénis par les deux étudiants : la chambre de Matthias. Ils le faisaient pratiquement toujours ici, peut etre parce que l'appartement d'A était bien trop occupé niveau collocataire, ou bien était-ce du fait que leur relation amélioré était connu de personne. Deux simples raisons qui les poussaient a le faire chez Matthias, ayant son habitation pour lui tout seul, chose qu'aimait par dessus tout les deux amants. Alors la reine des glaces, sentit plus qu'elle ne vit, le matelat du lit du jeune homme touché son dos, alors que le jeune homme se trouvait sur elle. Ils savaient tout les deux comment ca allait se finir, mais ils prenaient toujours leur temps pour leur débat, comme si c'était la première fois qu'ils decouvraient le corps de l'autre. Alors ce n'était sans réel surprise pour le jeune homme qu'était Matthias, qu'elle bascula de l'autre côté de façon a être sur le jeune homme. Angel n'était pas un genre de femme qui aimait dominer ou se faire dominer car dans les deux cas, les deux étaient gagnant. Mais ca l'amusait beaucoup. Dominer ses amants alors qu'ils étaient connu pour être le sexe fort. Mais c'était ainsi et même avec Matthias, elle le dominait quelque secondes avant qu'il la bascule a nouveau. Ca ne la genait pas, appreciant le fait d'etre dominé par le jeune homme alors elle la laissa faire, il le faisait si bien. S'emparant des lèvres du jeune homme pour un baiser fougeux, elle sentit des frissons parcourirent son corps au contact des mains chaude de son futur amant. Laissant les lèvres de M de côté, elle entreteprit de le couvrir de baiser dans le cou, alors que des soupire et gémissement sortit de la bouche de la jeune femme. Elle était peut etre quelqu'un de fort, niveau caractère et pourtant là dans les bras du jeune homme, c'était tout le contraire. Elle aimait être faible pour Matthias et celui ne s'en priva pas, bien au contraire vu au caresses qu'il lui produit, sous son top.
MATTHIAS ▬ Je suis là, tu ne vas plus avoir froid. Ajouta t-il à son geste plutôt révélateur. Oui, il était là pour la rechauffer, elle au corps et au coeur froid. Ce n'était pas pour rien, qu'on la surnommait reine des glaces. Angel avait un corps qui pouvaient faire fremir d'envie ou de froid les personnes qui la touchaient. Elle ne savait pas pourquoi, elle était comme cela mais elle se plaisait a se dire que c'était la meilleure façon pour elle, d'être rechauffer. Alors quand quelqu'un la rechauffait, sa peau devenait brulante et cela, elle aimait beaucoup d'où sa collection d'amant d'un soir. Matthias ne faisait pas partie de sa collection d'amants. Il était a part. Dans un coin de son coeur qui faisait comprendre, qu'il passait en premier. Il était son ami et Angel protegait ses amis même si elle n'avait jamais été vraiment consoler de toute sa vie. Dont Matthias. Ils se connaissaient peut etre depuis le lycée, mais se ressemblaient étrangement car leur vie avait des hauts et des bas et ne se prenait pas la peine de le montrer aux monde. Ils étaient fort chacun de leur côté mais été indestructible ensemble. C'était un fait et personne ne savait d'où leur venait leur complicité facilement acquise. Alors avec un soupire de bohneur, alors que sa bouche se separait de celle tant découverte du jeune homme, elle entendit sa voix raisonner dans la chambre peuplé de silence et de gemissement. Sa voix était quelque peu rauque, montrant le désir qu'elle pouvait avoir pour le jeune homme. Mais sa voix était aussi agréable a entendre, où presque dans chaque mot, un sous-entendu y était glisser et M était l'un qui les reconnaissaient entre pile et cela Angel, adorait. ANGEL ▬ Brûle avec moi. Oui brûler sur un feu ardent et passionné, qu'était les flammes du désir. Ce n'était pas la première fois, qu'ils dansaient ensemble sur les flammes de l'interdit, et ce n'était pas la dernière fois qu'ils le feraient. Alors posant délicatement, un chaste baisé au coin des lèvres du jeune homme, la jeune femme entreprit d'enlever le tee-shirt incombrant du jeune homme avant de reposer, ses lèvres fruité sur celle sucrés de son futur amant.
Ses baisers continuèrent a venir, alors que la jeune femme était toujours positionner sur le jeune homme. Rompant ce geste avec un petit soupire de frustration, elle le regarda, un instant avec un sourire tendre aux lèvres. Qui ne pourrait pas aimer la personne qu'était Matthias Dashwood ? Qui ne pouvait pas lui résister ? Certaine personne. Il avait du charme, sans rien faire pour le pratiquer et c'était peut etre pour cela, qu'au lycée, elle avait voulu devenir son ami. Il était quelqu'un de spéciale pour elle, et comme tout proche, le consolait. A sa manière certes, mais une manière qui marchait toujours sur Matthias. Son regard envoutant chocolatés s'encra un instant deux ceux verdatre du jeune homme. Elle aimait ses yeux. La partie du corps qu'elle aimait chez ses amants. Le passage du corps à l'ame mais au final, Angel aimait comtempler les yeux de ses amants. Celui de Matthias était envoutant, tantot d'un vert de prarie, tantôt un vert sombre de fôret. Ajouter a cela, la flemme de désir dans les yeux de ce dernier, cela donna une parfaite réponse sur comment elle pouvait être exiter par lui. Elle l'aimait, certes pas d'un amour avec un grand , juste un amour d'amitié et par ce simple fait, sera toujours présente pour le jeune homme, où souvent elle gagnait beaucoup. Reposant ses lèvres fruité sur celle du jeune homme, elle sentit la situation s'inversé. D'etre à califourchon sur le jeune homme, elle se retrouva allongé sur le lit, avec le jeune homme torsu nu sur elle. Certes, un petit espace les separaient encore, prenant leur temps pour monter la flamme de désir en eux mais elle pouvait sentir la chaleur masculine du jeune homme sur sa peau. Peau vetu et pourtant, si elle n'avait pas regarder ses vêtements, elle aurait parier qu'elle était aussi nue que le jour de sa naissance. Un gémissement sortit de la bouche pulpeuse par les nombreux baisers du jeune homme, alors que ses oreilles écouta ce qu'il lui disait, sentant le souffle chaud et irrégulier du jeune homme vers le creux de son oreille, portant une de ses mains sur le cou du jeune homme, juste pour l'emmener plus proche d'elle, pour le sentir bruler grace a elle.
MATTHIAS ▬ Tu te souviendras de cette nuit toute ta vie Angel Carlson, elle sera gravée dans ta mémoire et tu chercheras sans cesse à éprouver de nouveau ces sensations qui t’attendent… Je vais te déshabiller avec douceur et sensualité, et je vais te faire éprouver ce plaisir que tu n’atteindras avec aucun autre… Tu seras mienne, pour cette nuit au moins… Ces mots étaient ceux d’un jeune homme dont l’excitation ne faisait qu’accroitre. Un autre gémissement sortit de la bouche de la jeune femme vite happé par les lèvres du jeune homme. Roméo, comme elle l'appellait, était l'incarnation même de la luxure. De l'interdit car peu de monde, esseyait de braver cet interdit. Seul les plus patient pouvait se vanter d'avoir découvert le vrai Matthias Dashwood mais peu, le faisait n'ayant pas réussit cet exploit là. Même Angel était passée par là, mais partant sur un caractère fort, tétu et patient, elle avait put découvrir le Matthias que peu de personne connaissait. Et ce Matthias là, elle aimait et reconfortait cette partie fragile. Les deux savaient que leur fort personnalité, cachait un enfant sensible ayant bien trop grandit trop vite. Et c'était cet enfant, que les deux consolait, certes avec des gestes non enfantins mais consolait toujours. Alors avec un geste doux et tendre, elle inclina sa tête de façon à la poser sur la nuque du jeune homme, pour lui souffler d'une voix chaude, faisant remonter une de ses mains manicuré sur le torse visible de son futur amant. ANGEL ▬ Alors fait moi connaître cette nuit inoubliable Matthias Dashwood. Fait moi, me sentir importante pour au moins une personne. Fait moi sentir ta passion, et je te promet que cela restera gravée dans ma mémoire pour toujours, même si je perderais la mémoire. Deshabille moi avec douceur et sensualité, si tu veux. Mais laisse moi te dire, que je te prevoit le même chatiment où ta patience atteindra les portes de non retour et que tu sera obliger de retirer tes vêtements par toi même ou de me supplier. Oui fait moi supplier, me déclarer tienne au moins pour cette nuit, car tu es la seule personne qui peut me rendre faible, en peu de temps. Alors je serais tienne, et mon corps te criera ton nom pour ce que tu me fais ressentir, connaitre et je te rendrais la pareille, sois en sur. Des paroles révelatrices, montrant a quel degré leur attirance pour l'autre était là. Se permettant un sourire, elle porta ses lèvres sur la lobe du jeune homme, pour sucer cette petite chose, qui produisait bon nombre de plaisir, à ses amants, alors qu'elle sentit les mains du jeune homme, sur sa peau laieteuse et si froide. Froide, une qualification qui allait a merveille avec son coeur, mais tout son corps criait une futur avalange de chaleur, dans les minutes qui allaient en suivire, et cela, Angel faisait tout, pour connaitre encore une fois, ce désir là. Un désir dévastrateur, qui les conduisaient tout les deux, bien loin dans le ciel où seul deux amants, pouvaient connaitre ce lieu si interdit et pourtant si tentant.
Alors levant les bras, elle permit au jeune homme de la devetir quelque peu, laissant apparaitre à la place de son top, sa poitrine généreuse recouverte d'une simple lingerie. Angel aimait se faire désirer et même si peu avait l'option de voir ce que portait la reine des glaces, elle aimait porter des jolies vêtements. Et les sous-vêtements n'étant pas en reste non plus. Et cela, devait plaire au jeune homme présent, torsu nu au dessus elle alors qu'elle sentit les mains masculins s'egarer sur son corps, lui produisant une montée d'hadrénaline alors qu'elle entendit un soupire de plénitude sortit de sa bouche alors qu'elle sentit les lèvres du jeune homme sur le creux de ses seins. Angel aimait ses baisers et c'était peut etre pour cela, que tout marchait à la perfection pour les deux étudiants, ne demandant qu'un simple plaisir charnel à l'autre et rien d'autre. Il n'y avais pas d'attaches entre eux. Pas d'amour ou de jalousie. Ils pouvaient se donner corps et ame a d'autre personnes, ils n'étaient pas du genre a devenir jaloux et possessif. Ils se ressemblaient bien trop, ayant la même théorie sur l'amour, pour ne pas sortir ensemble. Ils n'étaient pas fait pour être ensemble, mais ils étaient parfaitement coordonnée pour coucher ensemble et d'être excellent amis. Angel ne l'avait jamais vu autre qu'un ami proche, chose réciproque d'ailleurs, où elle préferait mille fois cette situation, qu'une relation sérieuse qui pouvaient les faire souffrir, eux qui ont déjà bien trop souffert dans le passé. Des compliments, des fait réelle sortit de la bouche du jeune homme, alors que ses yeux chocolatés restèrent encrer dans ceux verdates de Matthias. C'était toujours ainsi. Angel aimait regarder ses partenaires, aimait voir leur corps bouillonner de plaisir juste par ses soins, aimait voir l'etincelle de désir dans leur yeux s'agrandir pour les rendre pratiquement fou. Faire l'amour était une bonne chose, un sport comme tant d'autre puisque le coeur battait dans un rythme irrégulier, que seul l'action du sport pouvait se permettre cela. Et ce sport là, Angel Carlson y raffollait d'où ses nombreux amants d'une nuit.
Une de ses mains partirent dessiner le torse parfait du jeune homme, gardant sa bouche sur celle du jeune homme alors que des soupires de plaisirs esseyaient de sortir de leur lèvres pulpeuses. Sa bouche partit mordre gentiment, le creux de l'épaule du jeune homme, alors que son souffle se changa en mots lui répondant. Mots distinés à une seule personne et cette personne était Matthias Dashwood qui redecouvrit son corps, comme si c'était la première fois qu'ils couchaient ensemble. Ce n'était pas leur première fois ensemble, et pourtant ils le faisaient toujours de la même manière, voulant procrer du plaisir à son partenaire où point que l'un supplie l'autre de le prendre. D'ailleurs, sa arrivait fréquament entre les deux étudiants. Chacun voulait rendre fou de désir l'autre, et au final Angel suppliait toujours Matthias pour qu'il lui fasse l'amour. Et c'était bien le seul homme, qui pouvait se venter de cela car aucun autre amant, avait entendu la voix de la belle brunette les suppliers de la prendre sauvagement ou non. Oui Matthias était un démon. Un ange déchu portant la qualification de luxure, et cela faisait tomber toute les barrières de la jeune femme, qui ne pensait a rien d'autre, qu'au visage, au corps du jeune homme qu'était Matthias. Il était sa seule préocupation et c'était bien mieux ainsi car cela prouvait, qu'au moins Angel Carlson battait son coeur sur ce terrain là, coeur qui hurlait d'appartenir à une autre personne que Matthias mais ne l'aura jamais, ayant déjà battut cette guerre déclarée.
MATTHIAS ▬ Tu es splendide, parfaite, orgasmique. Dit-il entre deux baisers sur la poitrine de la belle. Splendide elle était. Orgasmique aussi. Mais, elle était loin d'etre parfait et pourtant, elle ne se pria pas pour le croire, puisque Matthias lui disait. Alors, elle lui répondit en mordillant gentiment l'épaule du jeune homme, faisant sentir son souffle brulant sur le buste du jeune homme, lui faisant comprendre, que c'était grace a lui, qu'elle était comme cela. Car c'était bien grace à Matthias, qu'elle était brulante, elle qui avait la peau froide tout le temps. Un feu brulant qui commencait tout juste a venir, et qui était loin d'etre de la même taille, soi-dit en passant vu l'ardeur que mettaient les deux amants, pour procurer du plaisir à leur interlocuteur. ANGEL ▬ Continue. J'aime les compliments . Oui, Angel aimait les compliments malgré qu'elle avait pas besoin de les entendre pour le savoir. .
Un sourire quelque peu amusé naquit sur sa bouche vite chassé par les lèvres pulpeuses du jeune homme, sur les siennes. Un nouveau baiser. Un nouveau ballet vite romput par le manque d'air, alors que leur mains voyagaient toujours sur le corps de l'autre. C'était toujours comme cela. Chacun voulait dominer l'autre même si ils savaient très bien, qui allait se faire dominer. Sa bouche partit à la découverte du cou du jeune homme alors que ses mains procurèrent des fines et sensuelles caresses sur le torse du jeune homme. Elle put entierement sentir le contact de leur buste, quand une main masculine remonta sur son dos pour décraffer les bretelles de sa lingerie féminine. Elle sentit plus le contact de leur poitrine mise a nue, que son sous-vêtements s'envoler dans la chambre du jeune homme, où un gémissement de pure plaisir sortit de sa bouche. Matthias savait toujours comment lui procurer du désir et inversement, aimant jouer avec la patience de l'autre mais surtout faire durer leur moment car il y avait une fin a tout. Une fin qui n'était pas a leur portée car une longue nuit les attendaient étant tout les deux, en manque de reconfort pour diverses raisons. Des raisons qui ne sortirent jamais de leur bouche car c'était ainsi. Ils ne se parlaient pas de leur problème même si chacun se doutait de quelque chose. Eux préferait se parler de manière provocatrice, sensuelle, des mots banales sortit par l'exitation présence, mais jamais plus. Jamais moins. Et c'était mieux ainsi, vu que ca plaisaient aux deux étudiants qui ne disaient jamais non, pour reconforter l'autre quand le besoin y était. Portant une main sur la nuque du jeune homme, elle le tira vers elle pour l'embrasser, ayant soif des baisers de son ami. Même si ils ne s'aimaient pas, ils aimaient donner leur corps à l'autre où ils s'unissaient à la perfection. Des sons sortirent de la bouche de la jeune femme quand il rompit cet echange bucale pour venir embrasser sa poitrine diablement offert au corps du jeune homme, laissant des frissons parcourirent son corps. Elle avait chaud et seul Matthias pouvait lui donner cette chaleur là. Elle acceuilit avec joix, les lèvres sucrée du jeune homme alors qu'elle passait une main dans les cheveux desordonné de l'étudiant pour l'appronfondir, ne voulant pas laisser partir cette bouche. Et pourtant, il la laissait partir alors qu'elle écouta ce qu'il lui souffla. Un sourire bien heureux naquit sur son visage d'ange, ange de la luxure qu'elle était et comme tout bon humain, il devait péché face à sa beautée froide. Et cela, Matthias le savait mieux quiconque cédant à la tentation car quoi de mieux que résister à la tentation que d'y céder ?
MATTHIAS ▬ J’ai tellement envie de toi. Laissa t-il échapper.
Prenant sa réflexion aux lettres près, elle se retrouva assise sur le jeune homme. Ses jambes partirent s'enrouler sur le bassin du jeune homme, produisant deux soupires de plaisir de la part des deux étudiants. Ses bras partirent s'enrouler autour du cou du jeune homme, faisant coller leur haut nu au haut nu de l'autre. Ses lèvres partirent faire une exploration de l'épaule gauche, pour y remonter dans de long baiser brulant jusqu'a arrivé au creux de l'oreille de ce dernier. Creux de l'oreille où ses dents taquines mordilla avec joix, la lobe offerte du jeune homme. Une de ses mains s'egara dans le dos du jeune homme, lui produisant milles caresses sensuelles et lente. Angel jouait avec la patience du jeune homme et il le savait mieux quiconque. Les voyant comme cela, on aurait dit que les deux amants s'elançait malgré le manque de vêtement sur le haut. L'un faisait apparaitre un dos nu ravager par deux mains manicurées, laissant quelque marques rougatre sans douleur. L'autre dos lui, d'un blanc laiteux, laissait apparaitre au creux de ses omoplates, un simple tatouage. Un tatouage représentant deux ailes blanches encadrant un A en forme gothique, mais qui en exitat plus d'un. Le silence religieux de la chambre de l'étudiant qu'était mister Dashwood apparut, vite briser par la voix envoutante de miss Carlson, qui lui susurrait milles véritée, au creux de l'oreille de ce dernier, continuant l'exploration de ses mains sur le dos du jeune homme.
ANGEL ▬ Ton front est parfait même si je n'aime pas voir, des rides apparaitrent quand tu es en pleine reflexion. Dit-elle alors que ses lèvres partirent posé un baiser délicat sur le front du jeune homme alors que son regard resta encré à celui verdatre de son interlocuteur. Tes yeux sont la partie que je préfere chez toi. Le sait tu ? J'aime voir cette étincelle de désir que tu as pour moi, dans ses instants là car ma seule pensée cohérante dans mon esprit, est ton nom. Mais je déteste voir cette lueur de tristesse dans ton regard verdatre et je ferais n'importe quoi pour la faire disparaitre, au moins pour un temps. Continua-t-elle alors que ses lèvres se posèrent une micro-seconde sur les yeux fermer du jeune homme qui apprecia le contact de ses caresse et de ses douces paroles. Elle était douce dans ses moments là, lui montrant qu'il était important pour elle, même si ce n'était qu'une question d'amitié entre eux. Ses caresses étaient peut etre douce, mais sa voix était quelque peu rauque, calme mais murmurer, faisant naitre bon nombre de frissons sur le corps du jeune homme. J'aime ton nez malgré qu'il sert a rien d'autre, que respirer ma chaleur corporel que tu peux me donner. eclera-t-elle alors qu'elle posa un baiser esquimaux sur le nez fin de son interlocuteur qu'était M. J'aime tes pommettes qui peuvent rougir au moindre de mes contacts. Murmura-t-elle alors qu'elle posa deux baisers doux et chaste sur les pomettes offerte du jeune homme. Angel était en proie de reconfort, en manque d'amour et le montrait. J'aime tes lèvres. Elle complète mes lèvres rougatres à la perfection. Mais j'aime les voir sourire au monde ou a moi, car cela montre que tu es heureux même si ce n'est pas grace a moi, que tu dois ce sourire splendide. laissa-t-elle échapper alors que ses lèvres partirent posée un baiser chaste et non prolonger, alors une de ses mains remonta doucement sur le dos matiser du jeune homme. J'aime ton cou, là où je peux reposer ma tête en paix quand j'ai envie que tu m'enlance. Mais je le préfere, quand je dois m'y accrocher quand l'orgasme est trop fort. souffla-t-elle alors qu'elle posa sa bouche sur le cou offert du jeune homme avant qu'elle enlève sa tête pour lancer un sourire en coin aux yeux homme et le regarder droit dans les yeux, pour continuer son monologue, brisé seulement par des soupires et des souffles irréguliers. Alors, laisse moi te dire une chose. Une de ses mains se posa sur le menton du jeune homme alors qu'elle encra son regard envoutant dans celui magnifique du jeune homme, le regardant droit dans les yeux. J'ai envie de toi et ce n'est pas demain la veille, que cette envie disparaitra, Matthias. Laissa-t-elle échappée avant de poser ses lèvres fruitée sur celle sucrée du jeune homme, appreciant le contact du corps de l'autre sur le sien, alors qu'ils étaient que si peu vetu.
Et cela, ce n'était que le commencement vers un feu brulant qu'on appellait passion.
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