« La vie est une souffrance perpétuelle… »

C'était un mercredi d'hiver. Rien de spécial, juste l'inquiétude depuis quelque temps. Elle essaye d'effacer mais les souvenirs sont plus forts. Alors elle se souvient de ces journées d'été. Du soleil bien plus fort que tous ces nuages. Ce mercredi elle était là et s'en s'y attendre. Ca tombe ça tombe. Elle sent les larmes. De joie puis de tristesse. Elle n'y croit pas. Elle tombe de plus en plus. Elle tremble. Elle crie. Elle se lève. Elle oublie tout. Jambes en mousses, cerveau en plasticine. Elle sent les larmes, qui coulent cette fois ci. Elle ne peut plus rien sentir. Douleur. Saleté. Elle est morte, d'amour. C’était un instant sombre pour elle. Tout est sombre a présent elle est assise par terre. Il la laissé la, dans cet appartement insalubre. Il lui avait promis un avenir magnifique. Elle était enceinte depuis sept mois. Elle l’aimait plus que tout et lui il part, là il est plus là. Elle sombre, elle pleure. Tout pourtant ce passé bien. Tout allait bien. Elle soupire elle rend la clef, elle ouvre la porte. Elle pleure sur la route. Elle monte ses marches en bois, cela fait un moment qu’elle n’a pas passer le porche blanc. Elle frappe à la porte, on ouvre des bras la serre. Ceux de son père, sa mère pleure. Ils pensaient qu’elle allait détruire sa vie avec cet enfant. Amélia leur fille n’a que 18 ans, elle va avoir un bébé dans deux mois. Ici elle est en sécurité. Ici ils vont prendre soin d’elle.

[…]
Elle se réveille hurlant de douleur sa mère monte a tout pas, son père démarre la voiture. C’est l’heure seulement il est tôt et Amélia perd du sang trop selon sa mère. Elle crie Amélia, elle ferme les yeux prise de douleur insupportable. Elle ouvre les yeux elle se situe dans la voiture, elle a perdu conscience. La voiture va à toute vitesse vers l’hôpital. Des qu’elle arrive on la prend en charge. Elle est endormie. Les infirmières demandent aux parents de sortir. Rien ne se passe bien, tout va finir à cet instant. Elle pleure quand elle se réveille tout lui fait mal. Une main serre la sienne, elle pleure plus fort Amélia, elle ne se sent pas bien, elle scrute la pièce de ses yeux remplit de larmes, il n’y a pas d’enfant. Elle ne voit pas d’enfant. Elle hurle de douleur sa mère la prend dans ses bras et une infirmière vient lui donner des calmants. Très vite un médecin arrive avec l’enfant. Il le donne a Amélia. L’enfant va bien.

Médecin : « Votre bébé va bien, seulement tout comme vous il manque de force. C’est une petite fille et elle n’a pas de nom. »
Ce médecin est le meilleur de l’hôpital, c’est lui qui s’est occupé d’Amélia et le bébé. Cet homme a prit le choix de faire vivre les deux alors qu’il y avait 40% de chance que les deux survives. Tout s’est passé très vite dans sa tête et encore maintenant il se dit que cela a était un coup de folie. La mère regarde son enfant puis le médecin, elle sait qu’elle lui doit tout. Elle regarde son Badge, celui-ci se prénomme Marc J. Jonsonn. Elle lui sourit lui demandant ce que signifie le J. Un ange est né, celui ci fait le bonheur d’une mère, et la joie des grands-parents. Cet ange a était abandonné par son père. Cet ange fera le bonheur de ce médecin. Cet ange se nomme Jessie

« Tout est féerique dans son monde… »

Certain on une naissance assez extraordinaire et cette chance de naître ainsi continue dans une chance perpétuelle. Après quelques mois Amélia et Marc commençaient à sortir ensemble, ils se fréquentaient de plus en plus. Des sourires, des gestes tendres. Tout étaient pour eux un moment parfait. Parfois Amélia confiait à ses parents la petite Jessie, pour que nos deux jeunes gens soient ensembles que tout les deux. Amélia était très une maman exemplaire avec sa fille qui grandissait rapidement. Après six mois a se fréquenté les deux jeunes gens décidèrent d’aller plus loin dans leur relation Amélia et Jessie quittèrent la maison familiale pour un appartement luxueux près de l’hopital. Tout s’enchaîna pour eux très vite, un mariage, marc qui reconnaît Jessie comme ça fille. Tout pour Jessie était fait pour qu’elle aille bien. A ses trois ans la petite famille déménage pour que le célèbre médecin soit chef d’une clinique. Malgré son boulot qui lui prend un temps fou il reste et passe des moments avec les deux femmes de sa vie. La petite Jessie grandit dans une atmosphère douce et féerique. Papa vient lui lire des histoires pour qu’elle s’endorme et Maman lui fait de bons cookies. Elle joue à des jeux de son âge sous l surveillance d’une mère femme au foyer. A dix ans elle fait sa première soirée pijama avec ses amies. Tout est beau tout va bien.

« Il en faut peu pour dérailler… »

Le lycée prend la place du collège, on change d’amis, on change de vie sociale. On retrouve d’autres amis. On change physiquement. Les parents le remarquent mais ne s’inquiète pas. Chaque soir un garçon est dans votre lit. Le matin vous vous réveillé nue à ses cotés. Il passe par la fenêtre pour que vos parents ne remarquent pas. On touche d’abord a la drogue douce avec des amis pour rire. C’est personne sont le mal mais ça vous plait. Puis on descend un peu plus vers l’enfer, les drogues remplacent la nourriture. Et vos amis d’avant ne vous regardent plus. Vous ne savez plus qui vous êtes et vos relations avec les autres se détériorent. Les mecs vous aiment pour votre corps. Ce joue de vous, alors vous jouez d’eux. Je ne l’aime pas. L’argent pour vous n’est pas un problème. Alors les soirées s’enchaînent ainsi que la beuverie. Vous etes au premier rang social et les gens vous admirent dans bas. Jessie est vu dans les bras de Don juan avec de la cocaïne dans son rouge a lèvre. Elle est vue en tant que salope par ses anciens amis. Elle a la classe pour certains. C’est la plus grande fêtarde du lycée. Elle est une élève cependant studieuse. Elle fait tout pour que les relations avec ses parents s’arrange. Elle arrange son physique et se fait plus polie. Elle parle avec franchise a ses nouveaux amis. Tout en étant assez sarcastique. Elle a peur de perdre le semblant de vie qu’il lui reste. Elle rentre à l’université une université de prestige. Elle vit. Elle vit au jour le jour admirant les hommes qui ne l’aiment pas. Elle admire les autres. Elle soupire et aime sa vie. Malgré ses déboires